1. Hautefort au mois d'août. (4)


    Datte: 16/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... découvrir un carton à entête suivi de quelques lignes: un vol de deux heures en montgolfière ! Ça alors ! La joie et la surprise se lisent sur mon visage, je n’aurais jamais pu penser à ça. En quelques minutes nous arrivons dans le bourg d’Hautefort. C’est un petit village charmant bâti avec la pierre ocre de la région. Il est majestueusement dominé par un imposant château aux toitures grises. En contre bas de la bâtisse, un homme aussi ventripotent que jovial nous accueille. Il s’appelle René. Avec l’accent chantant qui fait sourire Céline, il nous présente le coin et nous fait le topo sur les consignes de sécurité. - « Vous ma p’tite dame, ne m’en veuillez pas mais il est préférable que vous restiez sur la terre ferme, dit il à Céline. - Je vais rester avec elle, s’empresse d’ajouter mon père l’air blême, tu sais… mon vertige… - Oh papa quand même ! - Non vraiment sans façon, c’était une idée de ta mère… On a convenu tout à l’heure que ce serait Ivan qui t’accompagnerait. - Aller hop, c’est réglé, on y va tous les deux annonce mon oncle en m’entrainant vers la montgolfière jaune et bleue. » Elle parait démesurément grande et pourtant si légère. René balance quelques contre poids ça et là et largue les amarres. On prend de la hauteur tout en douceur mais tout de même beaucoup plus rapidement que ce à quoi je m’attendais. L’adrénaline coule dans mes veines. Mon cœur bat la chamade. Je m’agrippe fermement au rebord du panier. Mon père et Céline ne sont plus que des minuscules ...
    ... points. La machinerie produit un bruit infernal à intervalles réguliers. Je finis par ne plus y prêter attention. Le paysage est splendide. Le château et les arabesques de ses jardins semblent encore plus grandioses vus du ciel. L’air est de plus en plus frais. Je frissonne. Mes tétons pointent sous le coton léger de ma robe. Je croise le regard de mon oncle : - "Tu as froid? - Oui, j’aurais dû prendre une veste. Il me sourit pour la première fois de la journée, un sourire franc, sans calcul, m’ouvre ses bras et ajoute : - Viens, faisons la paix." Pour toute réponse, je viens me lover dos à lui et ancre solidement mes doigts dans l’osier du panier. Il me serre fort, pose sa joue sur le sommet de mon crâne en inspirant bruyamment puis desserre progressivement son étreinte. - "Tenez ma p’tite dame." dit René derrière nous en tendant une couverture. Mon oncle nous enroule dans l’étoffe puis se penche et murmure à mon oreille : - « Quoiqu’il se passe, garde les mains sur le bord et ne fais aucun bruit. Aucun. Tu en es capable ? » J’opine du chef timidement pour lui confirmer mon approbation. Sa main droite vient alors emprisonner brutalement mon sein gauche. Mon cœur s’emballe. Ses phalanges froissent la mousseline de ma robe. Je trésaille mais ne proteste pas. Il s’immobilise et attend quelques instants avant de bouger à nouveau puis s’immisce tranquillement sous le bustier. La pointe de sa langue remonte de la base de mon cou à mon oreille, il en profite alors pour me souffler ...
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