1. La servante


    Datte: 07/10/2017, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, soubrette, humilié(e), couche, Oral fgode, jeu, uro,

    ... garniture trempée de son débordement. Sous le regard bienveillant de Madame, elle se lava dans le bidet. Ensuite elle plaça la couche entre ses jambes et commença à remonter la culotte. Madame Babouche l’aida ensuite à bien la mettre en place. "Bien !" dit-elle, satisfaite, "Je pense que vous plairez particulièrement à mon père. Il aime quand on peut voir la culotte. Nous y allons ?" Denise vit avec effarement dans la glace, que les bords élastiques de la culotte en caoutchouc dépassaient de plus de la largeur d’une main de la robe et regarda Madame un peu effrayée. Celle-ci fit cependant un signe de tête encourageant à sa femme de chambre, et dit : "Mais si, mais si, venez ! Vous plairez sûrement à ma famille." Avec des sentiments mélangés, elle entra derrière Madame babouche dans la salle du petit-déjeuner où elle était attendue avec un vif intérêt. Madeleine, une personne décharnée aux cheveux blancs et Charlotte, la cuisinière, épaisse, au visage rouge, se tenaient contre la porte et l’attendaient avec un regard sans équivoque. "Un petit derrière bien ferme, comme Monsieur aime les tanner…" entendit Denise. Grand père Pierre se leva de table, côté face, et examina Denise avec ses sourcils relevés, comme un officier de Cavalerie examine un nouveau cheval. Alors son visage, creusé de mille petites rides par le temps, grimaça et le collier de barbe grise commença à trembler. Une charmante révérence à sa fille et un clignements d’yeux fugitif à peine perceptible pour Denise. ...
    ... "Saillante, mon aimée." Ces trois mots sortirent favorablement de ses lèvres et la tension générale tomba. Denise vit d’un seul coup d’oeil qu’elle était adoptée à Saint-Montagneux. Le vieux monsieur lui plut. Elle se connait un faible pour les hommes grisonnants, les vrais hommes, et elle sut avec un serrement de coeur qu’elle ne dirait pas non au grand père Pierre. Furtivement elle observa Monsieur Babouche qui était relégué un peu à l’arrière plan à la suite de l’entrée en scène pétulante de son beau-père. Il était grand et sombre de cheveux. Au premier regard, un bel homme. Mais il paraissait nerveux et ses mouvements consomptifs et incontrôlés. La façon dont il la regardait, le regard lubrique qui la déshabillait en bonne et due forme et ses lèvres beaucoup trop molles pour un homme, tout cela déplut à Denise. Elle connaissait ce genre d’homme et se doutait que Monsieur Babouche chercherait le premier à l’entreprendre. Elle décida d’être sur ses gardes et de créer une situation claire. Le petit-déjeuner se passa joyeusement et l’appétit fut en rapport. Denise avait besoin de ses deux mains pour servir les friandises amenées par Charlotte en sueur. Lorsqu’elle servit grand-père Pierre, celui-ci passa la main sous la robe et lui pinça les fesses de grand coeur. Sans un mot de surprise et sans interrompre son travail, elle le frappa sur les doigts. Alors elle se retourna, coquette, faisant virevolter sa petite robe étroite ce qui attira encore plus son regard sur sa culotte ...
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