La servante
Datte: 07/10/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
soubrette,
humilié(e),
couche,
Oral
fgode,
jeu,
uro,
... en caoutchouc. Elle lui dit si doucement que Lisette assise à côté de lui ne le comprit pas : "Attention, Monsieur, une jument rue volontiers le matin de bonne heure." "Parbleu, vous me plaisez." répondit-il aussitôt à voix basse, et tous les deux furent d’accord. Après que la table fut ramassée et que Madeleine et Charlotte eurent desservi, Monsieur Babouche se leva en toute hâte, effaça les plis de sa cravate et dit : "Denise, venez aussitôt après dans ma chambre, je vous prie. J’ai à vous parler !" Denise hocha la tête et intercepta le long regard scrutateur que Madame Babouche jetait à son mari. Grand-père Pierre faisait le désintéressé, Lisette avait incliné la tête et se mordait les lèvres. "Ha !" pensa Denise, "Ca se déclenche !" Docile elle se rendit dans la chambre de Monsieur Babouche. Lorsqu’elle entra, il se tenait, l’attendant déjà, devant son gigantesque bureau sur le dessus en marbre duquel, se trouvait une canne de jonc jaune. Il la regarda sévèrement. Il toussota et dit : "Denise vous êtes jeune et récalcitrante. Vous avez montré votre derrière à mon beau-père, ce respectable vieillard au-dessus de tout reproche. C’était tout simplement dévergondé. Pour cela je vous tannerai les fesses afin qu’à l’avenir vous teniez mieux votre lubricité sous contrôle." A ces mots, il sortit de derrière son bureau et saisit Denise sous le menton. "D’ailleurs ma femme semble vous apprécier. Je veux connaître et voir au moins une fois, ce que l’on peut entreprendre avec vous. ...
... Et ainsi, faire. Marchez, couchez vous sur le dossier du fauteuil !" Denise sourit, passa de l’autre côté du bureau à petits pas, d’un léger mouvement jeta en l’air la canne et se pencha sur le dossier du fauteuil. Des deux mains, elle tendit la culotte en caoutchouc sur ses fesses. Monsieur Babouche était pour le moins justement surpris comme l’était son beau-père peu de temps auparavant. Cette jeune fille réagissait tout à fait autrement que les jeunes filles de province qui avaient travaillé jusque maintenant à Saint-Montagneux. Il avait attendu une protestation ou au moins une marque de frayeur. Maintenant, indécis, il tenait la canne dans la main, lorsque Denise prit l’initiative. Provocante, elle se retourna et alla s’asseoir sur les genoux de Monsieur Babouche. Du bout des doigts elle ouvrit son pantalon et en très peu de temps elle avait fourré dans sa bouche la longue queue dure comme un os. Sa tête commença un lent et régulier mouvement de haut en bas. Lorsque sa main menue et fraîche se referma autour de ses couilles tendues, la sueur envahit le front de Monsieur Babouche et un bruit sifflant s’échappa de ses lèvres. Hâtivement, il arracha de son pantalon descendu, un mouchoir de soie et le pressa dans la main de Denise. Une seule fois seulement elle leva rapidement les yeux et hocha brusquement la tête. "Je prends le café par principe avec de la crème." Dit-elle, avec jouissance dans un clappement de langue et elle retroussa les lèvres sur le gland palpitant. La ...