La servante
Datte: 07/10/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
soubrette,
humilié(e),
couche,
Oral
fgode,
jeu,
uro,
... "Lisette, aides-moi donc !" murmura-t-elle, toute apathique et vaincue par Jacques. Lisette se pencha sur les fesses de Denise et laissa sa langue tourner autour de la queue de Jacques et du derrière de Denise. Sa main malaxait les couilles bien tendues qui pendillaient rythmiquemment contre la chatte tuméfiée de Denise. Celle-ci contracta son anus et enferma fermement la queue de Jacques. Maintenant Jacques poussait également des gémissements et avec un soupir sonore il déversa sa sève dans son derrière. Il griffa les fesses de Denise et souffla profondément, le visage enfoui dans le caoutchouc sur le dos de la jeune fille. Elle sentit venir le dernier orgasme et fermant les yeux, elle perdit presque connaissance. Lentement elle essaya de se relaxer et se laissa aller. Lorsqu’elle put enfin exprimer une idée claire et qu’elle se fut libérée du caoutchouc, elle vit Jacques qui était assis sur une chaise et qui lui proposait en souriant un verre de vin rouge. Lisette était accroupie entre ses cuisses, déjà de nouveau active car elle avait dans sa bouche sa queue dans un état ramolli et la suçait avec empressement. "Eh bien, comment te sens-tu ?" demanda Jacques et dans sa voix résonnait un peu d’inquiétude. Engourdie, Denise se leva, prit le verre de vin et sourit faiblement. "Tu m’as achevée en beauté !" répondit-elle d’une voix pleine de reproche. "Je n’ai encore jamais eu une pareille queue et je m’y suis faite difficilement. Et dans les deux trous, encore ! Oui, et ...
... par dessus le drap en caoutchouc follement excitant. Ca, aucun homme ne le supporterait." Jacques hocha la tête. "Tu vois, je l’ai dit également. Tu es une jeune fille intelligente, tu as assez vite saisi ce qui se passe ici à Saint-Montagneux. Et comment est-ce ? Veux tu y rester ?" "Hum. Je ne sais plus. Peut-être tout cela est-il trop excitant, trop fatiguant pour moi." Denise sourit par en dessous. "Ou bien, penses-tu que je devrais rester ?" Jacques regarda sans façon la femme nue devant lui et dit alors d’une voix traînante : "Nous nous accordons très bien ensemble, ou pas ?" Ce faisant il fit un clin d’oeil, et en signe de possession, passa sa main entre les cuisses de Denise. "Eh, un moment s’il te plaît !" protesta Lisette. Elle avait recraché le membre flasque de Jacques et s’était levée à son tour. "Je ne suis absolument pas d’accord avec cela. Je dois déjà partager Jacques avec maman, Denise, tu ne peux pas le revendiquer pour toi toute seule !" Denise leva les mains en signe de défense : "Tranquillises-toi, je ne te l’enlèves pas. J’ai beaucoup trop peu de temps pour aller voir Jacques constamment. Bien que…?" Ce disant, elle saisit avec envie l’énorme queue et commença à la branler délicatement, "Bien que je voudrais encore l’avoir par-devant et volontiers par derrière. Mais pourquoi se disputer ? Regardes, il est déjà presque raide. Laisses-nous nous en servir le soin." "Tu as raison, Denise ! Viens, Jacques ! Allons dans ta chambre." Lisette prit le drap en ...