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La servante
Datte: 07/10/2017, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, soubrette, humilié(e), couche, Oral fgode, jeu, uro,
... Gémissante, elle se baissa, la tête en avant et ouvrit automatiquement les cuisses. Elle sentit le drap humide sur sa peau et y enfonça exprès son visage et sa poitrine. Ce faisant, elle aspira l’odeur intime de Lisette parfumant encore le caoutchouc. Sa culotte en caoutchouc était à peine déboutonnée que Jacques commença à la baiser. Maintenant elle était couchée, les jambes relevées haut et ouvertes. "Ah…" gémissait-elle dans le drap en caoutchouc. "Fourres-le moi maintenant. Ne me laisses pas attendre plus longtemps. Il y a longtemps que je n’ai pas eu une queue brûlante dans la chatte. Oui !…" Tremblante, elle leva son derrière et accueillit la queue de Jacques dans toute sa longueur. Dieu, qu’il entra profondément ! Denise commença à étouffer. Peu s’en fallu qu’elle y reste. "Un moment !" haleta-t-elle. "Je dois d’abord m’habituer au calibre !" et elle jeta la tête en arrière, respirant avec difficulté. "Ne prends pas ça tant au tragique." dit Lisette cherchant à la réconforter. "Ca m’est arrivé aussi la première fois. J’ai même vomi lorsque j’ai senti son épaisse ceinture dans le creux de l’estomac." Jacques pressait fermement le visage de Denise trempé de sueur sur le drap en caoutchouc et frappait de gauche à droite, le dos de Denise avec les deux extrémités du caoutchouc. Ensuite il recommença à la pilonner par derrière. Denise eut la chair de poule et tout son corps vibra. Un délicieux élancement se concentra de sa poitrine en passant en passant par les hanches ...
... jusqu’au centre de sa chatte en chaleur et le premier orgasme arriva comme une explosion. Avec un cri perçant extraordinaire, elle tordit le drap en caoutchouc placé sous elle et resta les flancs frémissants comme une jument couverte par un étalon fougueux. Sa moule palpitante se contracta autour de la virilité bouillante de Jacques, prête, lorsqu’il eut déchargé, à expulser une queue flasque et glissante. Mais la queue de Jacques resta dure et raide. Denise le reconnut, douloureusement. Son trou humide resta rempli et elle ressentit alors une nouvelle poussée de Jacques qui la baisa de nouveau tranquillement. Denise suait de tous les pores et serrait fortement les dents. Tout doucement l’élancement spasmodique se relâcha pour faire place à une nouvelle jouissance. Jacques s’était penché sur la nuque de Denise et avait commencé à malaxer et à masser sa poitrine sous le drap en caoutchouc. "Ah… Ah… Oh… Ha… Ha, continues… Baises-moi, vas-y… Maintenant… Ha… Je ne peux plus… Oh… Retires-le moi… Je ne peux plus !" "Tu ne le crois pas toi-même !" grommela Jacques. "Maintenant ce n’est pas fini. Restes bien la tête sous le drap et redresse ton derrière !" Là-dessus, il retira sa queue de la chatte béante de Denise et la pressa lentement mais irrésistiblement contre son étroit trou du cul. Denise commença à gémir. Sans volonté, elle gisait sur le drap en caoutchouc qui entre temps avait été trempé comme une soupe, et désirait une seule chose : être délivrée de cette super-queue. ...