1. La servante


    Datte: 07/10/2017, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, soubrette, humilié(e), couche, Oral fgode, jeu, uro,

    ... l’autre les deux mamelons durcis. "C’est étroit !" laissa échapper Jacques et il commença, plein de joie, à baiser Lisette entre ses seins. Lisette regardait curieusement le gland brillant d’humidité qui apparaissait et disparaissait à chaque coup. Lascive elle se lécha les lèvres. Denise se plaça devant l’endroit où maintenant Lisette aurait préféré avoir la petite tête violacée. "Où est ma culotte en caoutchouc ?" demanda Lisette tout à coup. "Je veux avoir ma culotte en caoutchouc." Denise se pencha sur le bord du lit, pêcha la culotte rose et lui la tendit. La jeune fille plaça la culotte sous son menton et recueillit dedans toute la sève lorsque Jacques éjacula. Jacques se leva de dessus Lisette, une fois de plus content de lui et du monde. La petite se redressa, replia soigneusement la culotte en caoutchouc pour ne rien perdre du jus exquis et demanda avec un regard de côté sur Denise : "Aimes-tu la crème comme dessert ?" "Quel genre de petite salope lubrique, es tu donc ?" dit Denise en hochant la tête et elle vit combien Lisette semblait jouir en avalant le contenu blanchâtre et visqueux de la culotte en caoutchouc. Il était presque minuit et Denise se souvint de son obligation. Elle exhorta Lisette à aller au lit. "Tu veux être toute seule maintenant avec Jacques pour qu’il puisse encore te baiser !" "Mais non, Lisette. Tu oublies que je suis ta femme de chambre. J’ai des responsabilités envers toi et pour cette raison, je dois maintenant te mettre normalement des ...
    ... couches et te conduire au lit, d’accord ?" "Je ne veux pas aller au lit !" Lisette frappa du pied. Denise regarda Jacques, cherchant une aide. Celui-ci inclina la tête en silence, empoigna Lisette sans un mot et lui enfila sa culotte en caoutchouc. Puis il tira la môme gigotant et vociférant sur ses genoux et lui tanna les fesses par dessus sa culotte en caoutchouc. Instantanément, Lisette l’écouta et resta tranquille. Denise était convaincue que cette portion de Lisette jouissait de toutes les fibres de son corps. Elle l’enviait même secrètement, car elle aurait aimé recevoir de cet homme la fessée sur sa culotte bien tendue. Après cela, Lisette fut une brave petite-fille. Gentiment, elle descendit sa culotte en caoutchouc découvrant ses fesses rouges, et soumise, elle écarta les jambes et se laissa mettre une couche par Denise. Là-dessus les deux jeunes filles regagnèrent rapidement et silencieusement la maison domaniale. Devant sa chambre Lisette enlaça Denise et lui donna un baiser. "Tu es un amour, Denise." murmura-t-elle. "Je suis contente que tu sois là. Demain de bonne heure, je te réveille. Oui ?" "Bon, mon trésor. Mais maintenant il faut dormir. Plus de bêtise !" Denise et elle lui rendit son baiser. Lentement elle monta l’escalier et entra dans sa chambre. Sur le lit, grand-père Pierre était assis. Effrayée, Denise pressa la main sur sa bouche. Grand-père leva la lampe de chevet vers elle et la regarda curieusement. "Eh bien ! Fille de nuit dévergondée !" dit-il ...