1. La servante


    Datte: 07/10/2017, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, soubrette, humilié(e), couche, Oral fgode, jeu, uro,

    ... sèchement, "Vous semblez avoir très bien baiser avec Jacques ? De quelle façon ? Et aussi avec Lisette cette petite coquine lubrique ? Avouez-le !" Résignée, Denise se laissa tomber sur le lit à côté du grand-père, à ce moment tout lui était égal. "Oui, vous avez raison." Répondit-elle à voix basse. "Nous étions chez Jacques. J’ai encore mal partout où le drôle m’a prise." Le grand-père cligna des yeux. "Je me l’imagine, Mademoiselle. Lorsque j’ai voulu, tout à l’heure, respirer un peu d’air frais, j’ai vue encore de la lumière chez Jacques. Je me suis dit qu’il y avait quelque chose là-dessous et alors j’ai décidé de venir ici et d’attendre la petite demoiselle. Je crois maintenant que je dois vous mettre au lit." Denise sentit tout à coup, un besoin extraordinaire de se confier au vieil homme. "Oui, faites-le. Je vous en prie, conduisez-moi au lit." "Vous, petite-fille mal élevée, vous !" murmura le grand-père, contrefaisant une voix sévère. Alors il releva Denise, déboutonna sa petite robe et commença à la déshabiller. En souriant béatement, il détacha les bas, les roulant, les ôta de ses chevilles. Cérémonieusement il dégrafa le porte-jarretelles. Maintenant, Denise se tenait devant lui uniquement vêtue de sa culotte en caoutchouc. Grand-père Pierre claqua de la langue en connaisseur. Alors il dit, provoquant : "Petite fille mal élevée, venez recevoir la fessée sur votre culotte bien tendue, avant de vous expédier au lit, pas vrai ?" Il grimaça d’une façon presque ...
    ... canaille. Denise inclina la tête et spontanément se coucha sur ses genoux. D’une main elle tendit fortement la culotte sur ses fesses et, provocante, elle remua son derrière. "Pas mal !" dit grand-père Pierre, et sans façon il lui glissa par-devant une main entre ses cuisses et de l’autre lui tanna le derrière jusqu’à ce qu’elle fut tout étourdie. Denise se mordit le poignet. Les coups appliqués à la même place lui firent monter les larmes aux yeux. Mais elle avait tellement désiré cette punition, et elle se sentait si peu punie. Tout le contraire. À chaque coup qu’elle recevait, elle jouissait de plus en plus et lorsqu’elle sentit la queue durcie du grand-père se presser contre son ventre, elle était de nouveau toute trempée entre les jambes. "Oui, continuez, donnez la fessée à votre petite fille mal élevée ! Tenez bon, oui je l’ai mérité… Haaa… Ooh… Je jouis… Ooh… !" D’une secousse elle serra les jambes et sentit comme sa sève coulait dans la culotte. Combien d’orgasmes avait t’elle eu aujourd’hui ? Grand-père Pierre laissa disparaître l’excitation de Denise et releva sa taille svelte comme un ressort et la laissa glisser sur le lit. À la vue de la culotte humide, du drap en caoutchouc dans je lit, il leva les sourcils et dit : "Ou vous connaissiez déjà le drap en caoutchouc avant que vous arriviez, ou vous vous êtes laissée convaincre vite et bien par ma fille, depuis un jour." "Non, pas votre fille, Monsieur, mais Lisette. Elle me l’a parfaitement montré." "Naturellement." ...