1. La servante


    Datte: 07/10/2017, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, soubrette, humilié(e), couche, Oral fgode, jeu, uro,

    ... drap en caoutchouc tout neuf. Tu es surprise, pas vrai ? Je suis venue spécialement pour voir ton visage lorsque tu découvrirais le caoutchouc." Elle s’assit sur le lit avec un ’plouf’ sonore et montrant la table de nuit : "Tu seras encore plus étonnée lorsque tu verras ce qu’il y a dedans. Tu paries ?" Denise tira lentement le tiroir et toucha l’intérieur. "Qu’est-ce…pour qui sont ces affaires ?" bredouilla-t-elle, consternée. Dans le tiroir étaient rangées des culottes en caoutchouc et pour le moins trois douzaines de couches proprement empilées. Lisette éclata de rire. "Mon Dieu, si tu pouvais te voir maintenant ! Oui, toutes ces choses là sont pour toi. J’ai choisi pour toi, en commun avec maman, les culottes en caoutchouc. Viens ne fais pas une tête si épouvantable assise toi à côté de moi !" Ce faisant elle tira Denise sur le lit. "Regardes," continua-t-elle sérieusement, "Maman a un faible pour le caoutchouc et les bébés. Elle est très sévère et ne voit là dedans aucun amusement. Elle a reporté son faible sur toute la famille. Regardes !" Lisette se leva et remonta sa robe au-dessus de la taille. Elle portait une culotte en caoutchouc d’un rouge éclatant, bien remplie. À ce moment Denise sut d’où venait l’odeur douceâtre. "Sais-tu que dans la journée je la porte souvent sur la peau nue. Maman pense que çà ne se voit pas, d’habitude elle me descend jusqu’aux genoux." Elle prit Denise par la main et un espoir craintif perça dans sa voix lorsqu’elle dit : "Tu ne repars ...
    ... pas, Denise ? Tu restes quand même parmi nous ? Toutes les autres jeunes filles sont reparties à cause du caoutchouc et aussi parce que maman est très sévère. Pourtant tu restes avec nous, pas vrai ? On peut avoir aussi beaucoup de plaisir avec le caoutchouc. Ensemble avec Jacques, par exemple." Sa voix devint comme un murmure. "Cela peut rendre quelqu’un entièrement lubrique. S’il te plaît, Denise, restes !" Denise se leva et dans un emportement de tendresse prit pour un moment Lisette contre sa poitrine. "Viens, nous devons aller voir ta mère, d’ailleurs elle est certainement impatiente." Elle jeta un regard dans le tiroir ouvert et demanda en clignant des yeux : "Si je m’habillais tout de suite ?" Interloquée, Lisette regarda Denise. "Tu voudrais bien le faire ?" Denise haussa les épaules. "Je dois bien commencer un jour, si je veux rester ici. Aides-moi à défaire mes affaires." Elle posa sa valise sur la table et ouvrit les serrures. Contente Lisette l’aida à la déballer. Denise retira une courte robe noire, des bas noirs, un petit bonnet et un tablier, et elle commença à se déshabiller. Lisette l’observait avec un regard émerveillé. "Oh, Denise !" cria-t-elle enthousiasmée, "comme tu es jolie, que tu as une mignonne culotte." Denise encore vêtue de son slip en soie rose bien ajustée, se tourna coquette. Lisette s’approcha d’elle et caressa du bout des doigts le tissu brillant. "Merveilleusement lisse, n’est ce pas ?" demanda Denise. Lisette hocha la tête. "Excitant de ...
«1234...20»