La servante
Datte: 07/10/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
soubrette,
humilié(e),
couche,
Oral
fgode,
jeu,
uro,
... douceur, où l’as tu eu ?" Denise pinça les lèvres. "A ce sujet, on n’en parle pas en femme, mais tout à fait confidentiellement, ma dernière patronne avait cinquante ans et Monsieur seulement trente-huit et il était fichtrement bien. Ho, oui !" "Oui et pourquoi es tu partie de là ?" "Pffft ! Madame a trouvé tous les jolis dessous que Monsieur m’avait offert." "Et tu aimes la soie lisse ?" "Oui, évidemment ! Elle est si caressante, si douce, si légére, divinement excitante." Lisette sourit, futée. "Alors tu trouveras le caoutchouc encore plus excitant." et elle donna une tape amicale sur les fesses de Denise. "Viens, enlèves ton slip. Je te cherche une culotte en caoutchouc qui t’ira bien. Je peux ? Je sais déjà laquelle." Elle ouvrit encore plus le tiroir et après une courte recherche, elle retira une culotte en caoutchouc rose, collante avec des élastiques aux cuisses. "Elle est bien. Tu n’as pas besoin de mettre de couche avec, mais tu peux, par précaution mettre dessous une petite culotte en coton au cas où maman t’examine." "Effectivement, c’est encore plus lisse que la soie, et même plus excitant. Je veux l’essayer tout de suite, mais sans rien dessous." Elle regarda Lisette. "Tu m’aides ?" D’un court mouvement de la main, elle ôta la culotte de soie, et reprenant son souffle, enfila la culotte en caoutchouc tenue par Lisette qui la lui remonta lentement sur les cuisses. Mais tu as à peine de poils à ta moule, et comme elle est étroite et rose dit Lisette étonnée et ...
... elle regarda fascinée le coquillage de Denise orné d’un duvet tout léger et roussâtre. "Je me suis toujours rasée autrefois. Monsieur me voulait ainsi." "Ah oui, pour faire ’minette’ avec plus de plaisir." Denise se mit à rire. "Mais tu t’y connais, Lisette. Quel âge as tu vraiment ?" "Dix-huit ans, mais j’ai commencé depuis l’âge de seize ans, ici dans le pays on commence de bonne heure." "As-tu une idée de l’âge auquel commencent les jeunes parisiennes ? Mais arrêtes, tu m’excites avec tes doigts. Laisses-moi remonter ma culotte." Denise se regarda un moment dans la glace et tendit le caoutchouc sur sa moule. "Oui… Mais on peut tout voir !" s’écria-t-elle avec effroi, lorsqu’elle remarqua comme le caoutchouc épousait les formes de son corps. "Il est vraiment excitant, n’est-ce pas ? Si Jacques voit cela, il te baisera sûrement aussitôt." "Jacques ?" "Oui, Jacques est insatiable, et il se jette sur tout ce qu’il peut trouver, ici, à Saint-Montagneux. Il n’y a que maman, toi et moi, qui répondons à sa demande. Charlotte et Madeleine sont trop vieilles." Denise était un peu habituée, mais maintenant elle dévisageait Lisette, assez interloquée. "Madame… ta mère… et Jacques ?" Lisette haussa les épaules. "Maintenant papa s’occupe toujours de notre servante, alors maman a conclu avec lui un agrément loyal. Mais je veille à ce que Jacques ne sorte pas trop souvent avec maman, sinon il est trop fatigué le soir. Avant je suis allée chez mon grand père Pierre et je me suis laissée ...