La servante
Datte: 07/10/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
soubrette,
humilié(e),
couche,
Oral
fgode,
jeu,
uro,
... chatouiller par lui. Çà, il peut bien, mais pour le reste ce n’est plus une vraie queue. D’ailleurs, avec maman, je laisse Jacques me mettre mes couches. Claire, notre dernière servante m’a toujours langée avec dégout. Et lorsque j’étais mouillée le matin, elle voulait me punir pour de bon, ainsi que maman le fait. Elle ne pouvait pas concevoir que je prenne du plaisir à mouiller mes couches. Jacques est beaucoup plus affectueux, et lorsqu’il me tanne réellement le derrière, alors j’en jouis vraiment. Dis, Denise, veux-tu me langer avec douceur et me prendre souvent sur tes genoux ? D’accord aussi pour que maman, papa et grand-père te tannent les fesses ?" "Ainsi ils font cela ?" dit Denise en levant les sourcils. "Naturellement Grand-père le fait symboliquement, papa seulement lorsqu’il veut te baiser, maman bien entendu le prend très au sérieux." "Eh bien…", médita Denise, "Alors je peux m’attendre à certaines choses." Là-dessus elle remonta ses bas, les attacha à son porte-jarretelles, se glissa dans ses vêtements de femme de chambre, noua le tablier et se coiffa du bonnet. "Nous partons ?" demanda-t-elle à Lisette. Lisette hocha la tête. Avant qu’elles ne sortent de la chambre, elle se retourna vers Denise et lui demanda : "Baisses-toi, s’il te plaît !" Denise la regarda sans comprendre mais se baissa cependant, la tête en avant. Lisette claqua des mains. "Magnifique, la culotte en caoutchouc te va à ravir. Maman sera enchantée." Madame, quarante ans, mince, de haute ...
... taille, accueillit Denise d’une manière réservée, mais très amicale. Elle lui posa les questions habituelles et lui expliqua son travail. "Denise", dit-elle, "en premier lieu, vous vous tiendrez à la disposition de Lisette et de moi. Ceci dit, vous êtes là aussi pour mon mari et une fois par semaine, le soir, vous vous occuperez de mon père, spécialement en lui faisant de la musique et la lecture. Je vous ai déjà informée des limites de mes conditions d’embauche. Une de vos taches principales a peut-être quelque chose d’étrange et demande pour cela beaucoup de facultés d’intuition et de compréhension. Je vous l’expliquerai." A ce moment Lisette qui se tenait à côté de Denise, laissa tomber son mouchoir. En une fraction de seconde, Denise regarda Lisette et comprit. Elle se pencha le dos tourné à Madame, et ramassa le mouchoir. Madame Babouche fut surprise et interrompit son discours. Un sourire conquérant se répandit sur elle. Avec un léger mouvement de la main, elle attira Denise près d’elle et souleva sa robe. "Je suis contente. Ma fille vous a déjà admise. Vous vous adaptez vite, Denise, cela me plaît. Mais vous devriez, au moins pendant la journée, porter une culotte de coton sous la culotte en caoutchouc. Le caoutchouc sur la peau nue excite beaucoup trop. Vous serez vite irritée et des fesses rouges fortement talquées ne sont pas un spectacle réjouissant pour un homme. De plus la culotte en caoutchouc ne serait pas assez étanche si vous vouliez vous laisser aller dedans." ...