1. La servante


    Datte: 07/10/2017, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, soubrette, humilié(e), couche, Oral fgode, jeu, uro,

    ... Denise rougit et fit la révérence. "Très bien, Madame." Madame Babouche fit signe que non. "Je veux le faire rapidement." "Chaque matin à neuf heures nous avons l’habitude de déjeuner. Notre cuisinière prépare tout, vous n’avez qu’à nous l’apporter. Vous vous présenterez à moi à huit heures et demi et vous m’aiderez à m’habiller. Vous pouvez déjà avant desservir Lisette. Après le petit-déjeuner vous vous souciez de ma chambre et de celle de Lisette. Mon mari vous dira s’il a besoin de vous. Vous faites les achats avec Charlotte et vous préparez la table pour midi. Après midi vous vous occupez des Meurs et des plantes vertes. J’aime avoir des Meurs fraîches tous les jours. Le café est servi à seize heures, le dîner à dix-neuf heures. Je me retire le plus souvent à vingt-et-une heures. Quand Lisette va au lit, vous vous conformez avec elle. Suivant le cas, nous discuterons de votre jour de sortie. Avez-vous quelque chose à demander la dessus ?" "Non, Madame." "Bien ! Lisette, montres la maison et la cuisine à Denise. Votre service commence demain matin. Alors je vous présenterai à mon mari et aussi à mon père. Vous pouvez aller maintenant !" "Merci, Madame." Ce soir-là Denise resta longtemps éveillée. Le drap en caoutchouc qu’elle n’avait pas retiré du lit par curiosité, déclenchait à chaque mouvement sur sa peau, un picotement étrange. La culotte en caoutchouc serrée à la taille et aux cuisses lui donnait un sentiment nouveau et inhabituel de sécurité. Elle commençait à ...
    ... comprendre Lisette et Madame Babouche. Reprenant haleine, elle se coucha en arrière et chercha à se détendre. En vain. Lentement elle promena ses mains çà et là. Ses cuisses s’ouvrirent et ses doigts énervés commencèrent à caresser sa chatte à travers le caoutchouc protecteur de la culotte. Une sensation agréable encore inconnue, s’empara du corps de Denise. "Mon Dieu, je jouis !" murmura-t-elle doucement et elle se roula sur le ventre en gémissant. La sensation du drap en caoutchouc chaud avec lequel son visage et le bout de ses seins étaient maintenant en contact intensif, était si nouvelle et sa lubricité telle qu’elle releva les genoux, écarta encore plus ses jambes et commença à se branler violemment. L’orgasme vint rapidement comme une nuée de flammes, il embrassa tout son corps. Un cri étranglé s’échappa de ses lèvres, elle s’allongea exténuée sur le drap en caoutchouc et ferma les yeux. Elle sentit comme sa sève coulait de sa moule dans la culotte et répandait une chaleur bienfaisante. Elle s’étira sur le caoutchouc et s’endormit heureuse. Le sommeil de Denise fut paisible et sans rêve. Elle fut réveillée en premier par un coup frappé à la porte de la chambre. Effrayée, elle regarda à sa montre et se trouva rassurée qu’il ne fut que sept heures. "Oui ?" demanda-t-elle encore endormie. "Qui est là ?" A ce moment la porte s’ouvrit et Lisette entra rapidement. Denise remarqua que sa culotte était mouillée et collait à sa peau et qu’on pouvait le voir très clairement. Vite elle ...
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