1. La repasseuse, premier acte...


    Datte: 26/07/2020, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral init,

    Je venais d’atteindre mes dix-huit ans, mais j’étais encore puceau ; lycéen, j’habitais toujours chez mes parents. Devant notre cuisine, il y avait un petit balcon qui faisait angle avec une simple fenêtre, aussi celle de la cuisine des voisins, Ces derniers travaillant tous deux utilisaient de temps en temps les services d’une amie, Mme Pigeaudier, la quarantaine, pour effectuer certains travaux de repassage. C’était une femme bien bronzée, robuste mais aux attaches fines, à l’aise dans son corps. Ceci ne m’étonnait pas car amie des voisins, elle devait être naturiste comme eux, comme je le savais déjà. Chaque fois que nous nous croisions dans l’escalier ou nous voyons par la fenêtre, je la saluais… Elle répondait, souriante. C’était l’été et tout était grand ouvert, par nos fenêtres comme d’habitude je saluais Mme Pigaudier, cette fois m’efforçant de ne pas regarder avec concupiscence sa poitrine en cette saison bien découverte. Pourtant, elle avait bien saisi mon regard, et j’avais compris qu’elle avait compris… Je rentrais précipitamment. Elle devait être nue sous sa blouse, je m’imaginais. Passant à l’autre fenêtre de notre cuisine, fermée, je l’épiais entre deux lames de volets. Je me mis alors à me branler la regardant repasser, se pencher montrant encore la naissance de ses seins, la rondeur de ses doudounes ; puis s’activant à la planche et autour, allant et venant dans tous ces mouvements elle remuait le cul et découvrait ses jambes, presque ses cuisses… Planqué ...
    ... derrière ma fenêtre, ahanant, j’étranglais ma matraque comme un forcené, mon gland gonflait… ça y était, ça vient…, ouch…, et en grognant je déflaquais comme une bête dans le mouchoir en papier que je tenais prêt… Cet été, je pris l’habitude de ces branlettes, pas toujours faciles à organiser car je n’étais pas toujours seul à la maison quand la repasseuse venait, et sa fenêtre n’était parfois qu’entr’ouverte… Branlette, branlette… faute de mieux mais quelque peu répétitif et frustrant. Je préférais finalement celles le soir entre minuit et les couvertures, car alors je pouvais me raconter toutes les histoires, inventer toutes les situations plus érotiques les unes que les autres : inattendues, cochonnes, vicelards, voyeuses ou exhib ou les deux, avec où sans Mme Pigeaudier. Bref, tout ça tournait en rond et moi en bourrique, quand un jour… La repasseuse étant là, je vaquais sur le balcon cherchant encore à la reluquer sous prétexte d’arroser les fleurs bien que ce ne soit pas l’heure et la guignais, je croyais en douce. — Zut, entendis-je, les plombs ! Je me tournais vers elle : — Un problème ?— Les plombs viennent de sauter, ils sont là dans le coin que je connais, mais je sais où sont les rechanges…— J’ai ce qu’il faut si vous voulez.— D’accord. Muni du nécessaire, me précipitais ; elle m’attendait sur le palier, pieds nus sous sa blouse. Instantanément, je l’imaginais nue… — Viens par là. Je la suivis, admirant ses hanches larges et son cul balançant sous sa taille serrée. ...
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