1. La repasseuse, premier acte...


    Datte: 26/07/2020, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral init,

    ... Elles te plaisent.— Mmoui… fis-je avec toujours ma petite voix. La blouse remontait et découvrait la naissance de ses cuisses. — Je continue ? je suis nue sais-tu, veux-tu que j’aille jusqu’en haut de mes cuisses, ou veux-tu voir mes seins d’abord ? Angoissé de voir pour de vrai une chatte que je n’avais alors encore vue qu’en photo, j’optais pour la poitrine. — Je préfère voir vos seins, s’il vous plaît… Sa ceinture toujours serrée, elle libéra son torse et j’eus le bonheur de découvrir sa poitrine que je n’avais encore pu que soupçonner. Elle avait des seins bien rond, assez petits pour ne pas tomber, de larges aréoles, des mamelons longs et érigés. Elle se rapprocha. — Vas-y, tète-les… Je m’emparais de ses mamelles à deux mains, me mettant à téter à droite, puis vite à gauche, puis alternativement. Instinctivement, je découvrais ce que font tous les hommes. — Mais tu dois être mal à l’aise dans ton pantalon, maintenant dit-elle. Allez, debout ! Je me redressais ; sans attendre que je me débraguette, elle était à genoux à l’œuvre, et je me retrouvais en T-shirt, le reste aux chevilles… Elle se recula, torse toujours dénudé mais bassin dissimulé, m’intimant : — Assieds-toi. Balançant ses hanches, elle se mit à lever les bras et les croiser. — Regarde ! moi je regarde ta queue toute raide ; tu sais, pour ton âge, elle est belle ; tu te la touches ?— Ouiiii…— Quand tu étais derrière tes volets, tu te branlais ? J’étais presque offusqué par cette crudité de langage. — Oui…— Et ...
    ... alors ? Je me lançais : — Je me suis bien fait juter m’dam… !— Tu t’es branlé pour moi. ? montres-moi Malgré tout mal à l’aise, je commençais à empoigner mon mandrin, allant et venant doucement. Elle continuait à se trémousser, lentement, une main en l’air, l’autre faisant mine de soulever le bas de sa blouse. — Pas trop vite, je veux tout te montrer d’abord… après, tu me montreras ton beau jus blanc… Encore des mots crus ; j’allais éclater, aussi je m’arrêtais. — Ha ! ça vient ? comprit-elle…— Mouiii…— Attends, arrête, tu vas voir… Obéissant, je laissai ma queue toute seule, aller agitée de soubresauts… — Regarde, dit-elle soulevant le bas de sa blouse frôlant le sommet de son triangle renversé… Regarde, dit-elle encore, découvrant lentement une incroyable touffe noire, drue et dense, puis la recachant pour m’agacer… Ça te plaît ?— C’est merveilleux, Madame…— Appelles-moi Sophie, et toi, qui est-tu ?— Nicolas, m… Sophie. Alors, elle enleva tout, s’accroupit, léchant un doigt puis le mettant entre ses cuisses. — Toi tu bandes, moi je mouille. Tu sais ce que ça veut dire ?— Oui, Mme… Sophie.— Comment sais-tu, tu n’as jamais vu !— Oui, mais j’ai lu et vu des photos.— Tu n’as jamais touché de chatte, et toi on t’a touché la queue ?— J’ai juste essaye de toucher une copine, mais elle ne m’a laissé faire que sur sa culotte.— Et elle ?— Je lui ai montré ma queue, elle l’a juste serrée dans sa main, puis elle s’est enfuie…— Et depuis ?— Je j’ai revue, mais nous n’avons rien fait.— ...