La repasseuse, premier acte...
Datte: 26/07/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
... Tu vas voir, je vais t’apprendre. Se mettant à genoux, elle vint jusqu’à moi et, les coudes sur mes cuisses, ses mains prirent l’une ma pine l’autre mes couilles. Puis elle approcha son visage du mien pour me poser un bisou de chaque côté, pas loin de ma bouche ; puis d’autres encore aux coins des lèvres, se rapprochant. Brusquement, je sentis sa langue pénétrer ma bouche, cherchant la mienne. Surpris, je la laissais tout de même faire, y prenant goût, je répondis même à sa langue, la mienne venant s’y nouer. Pendant ce temps, ses mais étaient toujours entre mes cuisses. — Sophie, si tu laisses tes mains où elles sont, je sens que je vais partir.— Mon petit chérie, vas-y, dit-elle se reculant. Elle se mit alors à m’astiquer avec vigueur, me massant les couilles avec la même conviction. — Tu me dis quand ça vient, tu verras.— Mais j’y suis, hoquetai-je… Me pressant les couilles un max, secouant mon chibre elle l’orienta vers ses seins, et je je giclais sur eux comme je ne l’avais jamais fait. — Ouahhh ! ! ! éructai-je…— Vas-y, envoie ta purée, donnes-moi ton beau jus blanc, je le veux, je le veux là sur mes seins… Je giclais par de nombreuses et abondantes saccades, a tel point qu’elle reçut aussi sur le visage, sur ses lèvres. — Mmmm, qu’il est bon ton foutre, dit-elle se léchant les babines. Embrassons-nous ! Quelque peu dégoûté, j’eus un geste de recul, mais elle m’avait rattrapé et farfouillait ma bouche de sa langue. Curieusement, ce n’était pas mauvais. Elle se ...
... redressa. — À toi de me faire jouir, maintenant.— Mais, je ne l’ai jamais fait…— Tu verras, ça vient tout seul, dit-elle en s’allongeant sur le lit et ouvrant ses larges cuisses. Mets-toi à genoux à côté de moi, ce que je fis. Elle prit alors ma main droite, isolant le majeur pour le faire aller et venir de haut en bas au beau milieu de sa chatte. — Sens, là ce sont mes lèvres, là c’est le trou et là c’est mon clito, dit-elle ne me guidant. Tout ça était bien humide, glissant. Je reconnus la douceur de lèvres, la palpitance du trou, et enfin la dureté du bouton. — Ça te plaît ?— 0h oui, c’est bien mouillé et c’est bien chaud…— Qu’est-ce que tu préfères ?— Je sais pas, mais en haut où c’est dur, ça m’excite.— Tu as trouvé ! comme j’ai branlé ta queue, branle-moi là ! Je me mis à l’astiquer, doucement, puis en tournant autour, puis en revenant dessus… — Ha, on dirait que tu l’as déjà fait !— Non, mais je suis excité, et c’est si doux, chaud, et aussi bien dur. C’est gros en haut.— En haut c’est mon clitoris, mon clitoooo ! dis-le !— Oui, Sophie, j’aime branler ton clito !— Ah ! parle-moi encore, dis-moi des cochonneries !— Mais ?— Qu’est-ce que je suis ?— Une cochonne qui se fait un petit jeune.— Une grosse cochonne, dit-le !— Sophie, tu es un belle salope, osais-je lancer, une belle et gentille salope. Elle se mit à sursauter, pressant ma main avec les siennes. — Oui, toi aussi tu es un cochon, mon petit cochon, je jouis, branle-moi !— Oui, je branle ma Sophie…— J’aime que tu me ...