1. La repasseuse, premier acte...


    Datte: 26/07/2020, Catégories: fh, fplusag, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral init,

    ... Ça n’était pas compliqué et donc vite réparé. — Merci, déjà ? je t’offre quelque chose à boire ?— Volontiers, répondis-je, tout content de rester là encore un peu. Nous étions tous les deux dans la cuisine, elle sous sa blouse, moi en jean où mon nœud commençait à se sentir bien emprisonné dans ma braguette. Elle apporta une citronnade, nous nous assîmes, Se penchant pour remplir mon verre, elle m’offrit encore une vue sur ses nichons qui me fascina, une vallée presque jusqu’au nombril. Dodus, bronzés, j’en avais déjà entrevus de tels sur la plage, mais là tout le monde est quasiment dénudé ça ne faisait pas du tout le même effet qu’ici, tous deux seuls dans la cuisine. C’était comme si elle s’exhibait, rien que pour moi… Vingt berges de plus que moi, belle comme elle était, elle avait sûrement de quoi mettre dans son lit ; je ne l’intéressais sûrement pas plus que ça… Et puis, inexpérimenté, je n’envisageais rien, ne n’avais aucune stratégie… Simplement, je fantasmais… Comme la fois précédente elle avait saisi mon regard, et je le savais…, mais cette fois nous étions proches et je ne savais plus où me mettre, comme on dit. Nous bûmes nos citronnades en silence, je n’osais plus regarder sa poitrine, fuyais même son regard. Pourtant je le saisis, appuyé comme cherchant le mien. Quelque chose allait se passer. — Bouf… quelle chaleur aujourd’hui, fit-elle dégageant ses épaules du haut de sa blouse tout en continuant son regard appuyé. Je déglutis, ne sachant que répondre. — Le ...
    ... week-end au moins, même si le soleil plombe, au camp on est tous bien.— Au camp, fis-je comme si je ne savais pas.— Oui, au Lavandou, tu sais que j’y vais régulièrement avec les Marchi.— Je les savais naturistes, mais pas vous.— Est-tu déjà allé là-bas ?— Non, mes parents ne sont pas amateurs.— Et toi, tu aimerais ? Je déglutis à nouveau, ne sachant que répondre. — Là-bas tu n’aurais pas besoin de cacher pour regarder les femmes, et de plus elles seraient nues ! Le ciel me tombait sur la tête. — Oui, une fois depuis ton balcon tu as regardé ma poitrine, puis ensuite je t’ai entrevu derrière tes volets fermés, me regardant.— …— Pourquoi te cachais-tu ? tu sais, ça ne me gêne pas d’être vue, ça me plaît que même un petit jeune comme toi me regarde.— …— As-tu déjà vu une femme nue— Non, répondis-je faiblement.— Ça te dirait ? Je la regardais, n’osant aller jusqu’à ses yeux, et ne pouvant que hocher la tête. Elle se leva, me prit par la main. — Viens… Comme un zombie, je la suivis. Elle m’emmena dans la chambre des voisins. Grande, haute sous plafond, une armoire à glace à côté du lit, des volets fermés, un ambiance intime d’après-midi d’été. — Assieds-toi, dit-elle me poussant doucement vers le lit, regarde. Reculant de deux pas, elle se mit à remonter le bas de sa blouse. — Tu as presque vu mes seins, regarde mes jambes, et puis je te montrerai plus haut. Remontant sa blouse, elle découvrait deux belles jambes solides, galbées, aussi bronzées que ses nichons, de beaux genoux. — ...