1. Le promeneur (1)


    Datte: 31/07/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... mains caressent mes jambes. — S’il l’aime, nous devrions les unir par le sexe, un anneau à chacun et une chaîne les reliant. Qu’en pense l’homme voyeur. — Tout ce que vous voulez tant je reste près d’elle et de vous toutes, mais surtout de Catherine. — Tu vois Julie, il est complètement drogué de notre amie. Et toi, ma belle rousse, qu’en dis-tu. — On lui étire son bâillon boule, elle lèche ses lèvres sèches et donne la même réponse. — Il faut faire vite sinon, nous allons les perdre tous les deux. — Je ne crois pas. S’il aime Catherine, qu’elle l’aime, ils nous aiment aussi. Pas vrai ? — C’est vrai. Je ne veux pas la séparer de vous toutes. Et encore moins la privé de ses plaisirs. Je me tais d’un doux doigt posé sur ma bouche, tel un papillon, celui de Julie que je suce et lèche avec dévotion. Elle ajoute que j’ai trouvé ma voie, ma Maîtresse, mes Maîtresses sans que je ne puisse lui donner tort. Sur le corps de Catherine, on coule de la cire chaude entre les pinces, la cire colore son corps tout entier, en s’attardant sur son pubis et ses seins. Le corps se tord, se voute, elle gémit derrière son entrave buccal. Je peux voir l’effet entre ses cuisses, son sexe s’ouvre lentement montrant qu’elle ne déteste pas, ses nymphes brillent de bonheur. Le martinet, on me le donne à soupeser. Il est lourd, aux lanières de cuir fines. On me le reprend, Yvette continue de m’exciter, je me retiens autant que je peux. Sur le ventre de ma belle rousse, le martinet le rougit. Son ...
    ... (bourreau) alterne entre force et douceur des coups. Le martinet remonte sur le corps. Fouette là où la chair est plus réceptive à la douleur, au plaisir. Catherine ne crie toujours pas. Les coups sont espacés, sans violence excessive, c’est un jeu savamment rodé, il mélange douleur et plaisir, comme un match dont l’issue est très incertaine, qui va gagner, la douleur ou le plaisir. Je ne le sais encore, bien que dans ma tête, je connaisse déjà le score, le plaisir ne peut que l’emporter. Mais ces femmes savent faire progresser la douleur lentement, comme un bourreau sadique qui augmente la souffrance sur son supplicié. C’est exactement que qui se passe sous mes yeux. Julie retire le bâillon, Martine vient le remplacer avec son sexe. Je peux voir la langue de la prisonnière s’activer sur cette vulve demandeuse. Le martinet est posé, une cravache est prise, longue et fine. Chacun des coups de cravache retire une pince, arrachant les premiers petits cris de douleur à cette rousse menue et magnifiquement belle. On peut le comparer, ce scénario au jeu du chat et de la sourit, qui gagnera, le dominant ou l’esclave. Si Julie se caresse durant cette séance, Julie m’impose tendrement de remplacer cette main. Le genre d’invitation qui ne se refuse pas. Je lèche en m’abreuvant de cette délicieuse liqueur qui suinte de son paradis. Martine, près de Julie reçoit ma main droite. Julie me prend la gauche qu’elle plaque sur sa vulve humide. Je ne peux faire davantage, je le regrette pour la ...
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