Le promeneur (1)
Datte: 31/07/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... sorte trahie en t’invitant à nous suivre. Tu vas croire que nous sommes que lesbiennes, c’est aussi vrai que faux. Nous sommes toutes à la fois dominatrices et soumises avec tout ce que cela implique, comme la douleur. Quand Martine reviendra, j’aimerais que tu n’interviennes que si nous t’y invitons. — Au cas où tu n’aurais pas compris, la première fois, je me suis entièrement soumis à vous six. Et... je n’ai pas envie de briser votre groupe...je serais même prêt à me soumettre complètement pour l’amour de Catherine. Voilà, tout est dit. — Là, tu es le premier mec qui me dit ça comme ça, de but en blanc. Ouais, le tout premier. — Le seul et unique tu veux dire. Je crois ne pas m’être trompée en lui demandant de nous suivre. — Je crains que tu aies raison, ma belle. Il est fou de toi ! Comme je le suis de lui, le coup de foudre. Dis-moi franchement, depuis, tu as couché avec d’autre ? gesgmj — Non, aucune, je les trouve les autres sont fade face à vous six. — Si ce n’est pas un aveu, une déclaration d’amour, je veux bien me pendre. Derrière Julie, Martine et Yvette dresse une longue table de massage. En fait non, cela ressemble plus à une table de gynécologue car on peut s’y étendre de tout son long et se faire écarter ses jambes comme ses bras. La table prête, les cinq (bourreau) entour la table. Catherine se lève, me fait face, retire son uniforme. — Tu vas souffrir ? lui demandais-je — Oui. — Beaucoup ? — Si je te sais près de moi, je vais même en jouir peut-être. — Tu ...
... sais que tu es magnifique dans l’orgasme. Soudain, tout ralentit, comme une action de sport pour en voir le moindre détail. Catherine, en soutien-gorge, s’accroupit lentement à mes pieds, baisa mes chaussures, lentement. Chacun de ses gestes était délectable, doux, enfin, ce n’est pas les mots exact, mais je n’en ai pas d’autre au moment d’écrire. De ses mains, tout en léchant mes chaussures, elle retire délicatement son soutien-gorge. Je l’arrête, le décroche de mes mains. Je redresse ma déesse, son soutien glisse le long de ses bras très lentement pour finir sa course dans ma main. Elle se relève, se dirige vers la table, on l’aide à s’allongé sur le dos. On enserre ses chevilles, ses poignets dans des bracelets de cuir blanc que l’on fixe à la table. Martine prend ma main, la pose sur le corps de Catherine. Je caresse ce corps qui réagit sous mes mains. Puis, Yvette, d’une main douce, me fait reculer de deux pas. Julie s’empare de pinces, elle en garnit le corps tout entier de ma Catherine. Elle gémit sans crier, je peux lire sa douleur sur son visage. Ses cuisses tremblent sous l’emprise douloureuse des pinces. On lui bande ses yeux amandes, on lui obture sa bouche d’un bâillon boule. Chaque geste sur son corps est lent, doux, savoureux pour qui regarde. Lysiane, la brune s’agenouille devant moi. Me retire mon pantalon, mon slip. Je me laisse faire, m’abandonne. Sa bouche sur mon sexe déjà dressé, elle y dépose de petits baisers. Sa langue frétille sur mes testicules, ses ...