1. Sylvia, femme d'action (1)


    Datte: 31/07/2020, Catégories: Hétéro

    ... mon ami… — Ça va te coûter cher. T’en est consciente ? — Je suis prête à tout. — OK. Alors voilà le deal : je vous loge avec moi. Ainsi personne ne vous touchera. Tu fais ton reportage tant que la rançon n’est pas payée, et vous participez à la vie du camp selon les libertés qu’on vous donnera. rnzriicv — Et en contrepartie ? — C’est simple : ton cul, ta bouche. Bref, tout ton corps est à moi, sans restriction. — … OK, mais à une seule condition. — Laquelle ? — Je veux que ça reste secret et discret. Je ne veux pas que Thierry sache ce que je vais être amenée à faire. — C’est d’accord. Pour sceller leur accord, Carlos, le chef du groupe rebelle, lui roula une bonne grosse pelle bien baveuse tout en la maintenant contre lui d’une main et l’autre main sur sa poitrine. — Je sens que ça va être le début d’une longue collaboration entre nous... — Longue, je ne sais pas. Fructueuse, je l’espère… dit-elle en tentant de l’amadouer en lui faisant du charme pour tenter de le mettre dans sa poche. À la suite de ça, il la prit dans ses bras façon jeune mariée et la coucha sur sa paillasse. Il commença à retirer ses fringues tout en la regardant, elle qui retirait ce qui lui restait de vêtements. Puis une fois nus tous les deux il lui écarta les cuisses pour dégager son entrejambe et commença à la lécher avant de s’y introduire. — Ça doit bien faire deux ans que j’ai pas touché une femme. — Eh bien alors profites-en. Sans préambule, il la pénétra vigoureusement, la besogna et finit par ...
    ... jouir hors de son vagin si accueillant en se retirant in extremis. — Désolé d’avoir été si rapide, mais depuis le temps que j’en avais envie… T’en fais pas, je serai moins… disons « animal » pour la suite. — De toute façon, je doute d’avoir mon mot à dire sur ta façon de me prendre. — Si tu as des suggestions pour que ce soit meilleur pour toi, je suis prêt à t’écouter. — On verra. Pour l’heure, je vais retourner dans ma cellule. Il va aussi falloir trouver une justification à donner à Thierry pour lui cacher les véritables termes de notre accord. Après s’être mis d’accord sur une histoire bidon entre eux, Carlos la fit raccompagner dans sa cellule où Thierry commençait à peine à émerger. Comme la veille, il était de mauvaise humeur contre elle. — Ah, merde, te voilà. Pendant un moment j’ai cru que j’allais passer ma dernière journée de liberté tranquille. — Je reviens de chez Carlos. — Qui ? — Carlos, le chef des rebelles. J’ai voulu négocier les termes de notre séjour, le tournage du reportage. — Toujours à penser à ta petite personne on dirait ? — Ne crois pas ça : j’ai réussi à le convaincre d’intervenir auprès de ses hommes pour qu’ils te laissent tranquille. — Pardon ? T’as fait quoi ? — Ce soir tu ne serviras pas de vide-couilles à tous les hommes du camp. On va même déménager dans sa hutte. Mais si ça ne te plaît pas, je peux toujours aller lui dire que… — Non, non, surtout pas ! Écoute, je ne sais pas ce que tu as pu lui raconter mais… Bah, merci, je ne vois rien ...
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