1. Lorsque l'amour s'échappe du rêve


    Datte: 08/10/2017, Catégories: fh, hplusag, autostop, amour, odeurs, pied, Oral

    ... regarder. Alors maintenant que tu t’offres à moi, je veux prendre le temps de te découvrir, de te regarder, de t’admirer.— Humm ! Alors déballe ta friandise.— Ah ! Comme ça, tu te prends pour une friandise ? J’espère qu’elle ne se mange pas trop vite. Humm… viens là que je te déguste. Et je l’allonge délicatement sur le lit. Elle me sourit. Je prends un instant pour la regarder. Je la sais belle ; mais là, avec ses yeux brillants de désir, ses longs cheveux soyeux encadrant son visage gracile dans la lumière du matin et peut-être mes yeux humides d’émotion, elle me fait penser à une muse de David Hamilton. Mais je suis curieux, et surtout impatient. Je commence donc à déboutonner son chemisier, bouton par bouton, dévoilant petit à petit une poitrine bien ronde enveloppée dans une fine dentelle qui, tout en transparence, laisse deviner tout en les sublimant ses deux magnifiques rondeurs. S’ensuit la découverte de son ventre soyeux ; je fais alors une pause, le temps de venir déposer un chapelet de petits bisous de son épaule jusqu’à son nombril où je découvre, brillant de mille feux, un joli bijou qui, s’il magnifie son ventre plat, dévoile un petit côté coquin de la belle qui n’est pas pour me déplaire. Encore plus émoustillé s’il se peut, je continue mon exploration. Quelle peau douce au parfum délicat… Je commence déjà à sentir l’effet des phéromones ; un régal ! Je ne sais pas pour vous, mais ces délicates odeurs corporelles déclenchent en moi comme un effetPerrier, oui ...
    ... c’est cela, comme si une bouteille dePerrier se déversait en moi avec ses milliers de bulles qui se répandent dans tout mon corps. C’est génial ; moi j’adore, et là… N’y tenant plus, j’entreprends alors d’ouvrir son jeans. Je découvre alors un tanga assorti à son soutien-gorge, qui souligne des hanches fines. Il laisse apercevoir une toison bien taillée, puis de longues jambes fines mais bien musclées, ce qui leur donne un magnifique galbe. Je profite de descendre ce pantalon pour caresser ses jambes au soyeux tel qu’il me provoque des frissons sur tout le corps. Combien de fois avais-je dû me faire violence pour résister à l’appel de cette peau, moi qui aime tant caresser une femme ? Là, enfin je peux : j’en ai le droit, et peut-être même le devoir, car cette caresse ne semble pas la laisser indifférente. Toujours est-il que sa respiration se fait plus profonde, et ses mouvements plus lascifs. Enfin j’arrive aux pieds. Là encore, j’y dépose – du haut de la cheville jusqu’à ses petits orteils – un nouveau chapelet de baisers qui lui déclenchent de petits frissons. Ils sont beaux, et elle semble réceptive à mes caresses ; je sais donc déjà que je reviendrai souvent les lui cajoler. Je prends à nouveau du temps pour la regarder, toute entière cette fois. Elle me sourit, et je vois que ses yeux me cherchent ; et, comme un aimant, mon regard reste accroché au sien. Elle m’attire alors à elle jusqu’à unir nos lèvres.« Oh, Corinne, que tu embrasses divinement bien… Ce sont mille ...
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