1. La bénédiction (1)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... moment même, elle se mit à caresser, comme malgré elle, le haut de la cuisse qui reposait sur l’autre. Si bien que, malgré l’intérêt que je portais à ce qu’elle me disait, je n’arrivais plus à écouter qu’à moitié. « Je veux que tu saches que, face à ces problèmes-là, tu n’es pas seul. Nous sommes là pour toi. — Je suis très heureux que tu m’aies dit ça, maman. Mais tout va bien, je t’assure, je suis tout à fait capable de gérer ma vie sentimentale. — Et sexuelle, me demanda-t-elle en tournant d’un coupp sa tête vers moi ? » Même si la sexualité était un thème comme un autre sous ce toit, j’étais toujours resté en dehors de ces discussions, position que j’avais toujours trouvée naturelle et confortable. Ma mère, respectant cela, ne m’avait jamais posé une question aussi directe sur ce sujet. Déglutissant et bafouillant, je réussis quand même à lui répondre : « Euh… oui oui, ne t’inquiète pas. Nous faisons les choses, euh… à notre rythme. — Je sais tout de ce qui s’est passé le week-end dernier. — Comment ça ? — Je sais que vous alliez faire l’amour, toi et Trish, et je sais comment ça s’est terminé. C’est normal d’être un peu rapide au début, mais si tu veux que ta relation avec elle dure, il va falloir t’améliorer, et t’améliorer rapidement. » J’étais sonné par ce qu’elle disait. À présent, c’était moi qui évitais son regard. Comment le savait-elle ? Je ne voyais qu’une façon : que Trish ait tout raconté. Mais je ne comprenais pas pourquoi. Avait-elle développé une relation ...
    ... si étroite avec les Charites qu’elle leur racontait des choses aussi intimes ? « Mais… comment tu sais que… ? — Peu importe. L’important c’est qu’il faut que tu t’améliores, et que nous sommes prêtes à t’aider pour ça. — J’y arriverai bien tout seul, et je ne vois pas comment… » Je ne finis jamais cette phrase. Au moment où je la commençais, ma mère se leva, et fit tomber son peignoir. Je m’étais trompé. Ce n’était pas un soutien-gorge et une culotte blancs qu’elle portait, mais un body tout en dentelle blanche. Je suis sûr que je ressemblais à un de ces personnages de cartoons, avec de la fumée sortant de mes oreilles et les yeux de ma tête ! Sous la dentelle, tout d’elle était visible, de ses grandes aréoles roses entourant des tétons impressionnants jusqu’à sa toison pubienne aussi rousse que ses cheveux. Elle me laissa quelques secondes pour admirer la vue, avant de dire : « Je sais aussi que tu fantasmes sur moi et tes sœurs. Elles le savent aussi. Nous avons toujours considéré ça comme normal, tu étais le seul garçon entouré de jolies filles en permanence, et nous nous sommes contentées de ne pas te pousser dans cette voie. Ce fut peut-être une erreur. Nous avons donc décidé de faire de toi le meilleur coup de la région. » J’étais toujours incapable de parler, tout à fait perdu dans l’excitation et incapable de penser correctement. Elle s’approcha de moi, me prit par la main, et me fit me lever de ma chaise. Elle posa alors, sans autre forme de procès, ses lèvres sur les ...
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