1. La bénédiction (1)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... miennes, et commença à m’embrasser. Rapidement, nos bouches s’ouvrirent, et nos langues se mirent à danser. Comme si cette action me sortait de ma torpeur, je repris (un peu) de liberté de mouvement. Mes mains visitèrent son dos, caressant la dentelle, avant de descendre jusqu’à ses fesses, que j’empoignait, faisant gémir ma génitrice. Nous étions collés l’un à l’autre, et j’étais parfaitement conscient de ses seins presque nus qui s’écrasaient contre mon torse, comme de mon pénis qui appuyait sur son ventre. Au bout de quelques minutes, elle mit fin à notre baiser. Puis, me regardant dans les yeux avec un sourire diabolique, elle cria : « Les filles ! Phase deux ! ». C’est alors que la porte de ma chambre s’ouvrit sur mes deux sœurs, elles aussi vêtues uniquement de lingerie sexy. Natasha portait un ensemble bleu d’eau, un soutien-gorge sans armature qui laissait poindre ses petits seins et une culotte en lacets. Samantha, elle, portait un ensemble vert bouteille, qui jurait magnifiquement avec sa peau de lait. Le soutien-gorge push-up en demi-lunes remontait sa poitrine magnifiquement, tandis que le petit string qui l’accompagnait laissait peu à l’imagination. Le balancement de ses seins était tellement hypnotique que je ne remarquai pas immédiatement qu’elle avait coiffé ses longs cheveux en deux couettes, qui lui arrivaient jusqu’aux épaules. Je devais avoir repris mon masque de cartoon, puisqu’en me voyant, toujours serrant contre moi ma mère à demi nue, mes mains ...
    ... posées sur ses fesses, elles se mirent à glousser légèrement. Samantha se posa en face de moi et, sans mot dire, m’embrassa, et je devinais plus que je ne le voyais Natasha faire de même avec notre mère. Je sentis alors une main se glisser entre moi et ma mère pour caresser à travers mon jean mon membre, et je me rendis compte en gémissant dans la bouche de ma sœur que je ne savais même pas à qui elle appartenait. Et cela me fit gémir de plus belle. C’est la voix de Natasha que j’entendis d’abord : « Oh, pauvre garçon ! Enfermé dans un jean si serré, il doit souffrir terriblement ! — Libérons-le, répondit simplement Samantha, moins joueuse que sa sœur pour une fois. » Toujours incapable de parler et ne comprenant qu’à moitié ce qui m’arrivait, je laissai aux Charites le soin de s’occuper de moi. Dans mes fantasmes les plus fous, il m’arrivait de prendre l’une d’elles, ou mes deux sœurs à la fois pour les plus hards, mais jamais je n’avais imaginé que ces trois déesses rousses s’associeraient en lingerie fine pour me déshabiller. Et c’était pourtant ce qui se passait. Une fois que ma mère eut reculé d’un pas, Natasha, plus grande que moi, se fit un devoir d’enlever mon tee-shirt pendant que les deux autres entreprirent d’enlever mon pantalon. En quelques secondes, je me retrouvai complètement nu, toujours hagard. Ma mère prit alors la parole, semblant plus à l’aise en donnant une forme utilitaire à ce qui se passait, même s’il nous semblait évident à tous qu’elle était vraiment ...
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