La bénédiction (1) - Histoires de Sexe

La bénédiction (1)

... décida qu’il valait mieux occuper sa langue autrement. Pendant que je m’occupais des seins de Natasha en tentant tant bien que mal de conserver mon membre sur son clitoris, Samantha posa ses mains de chaque côté de la tête de sa lesbienne de grande sœur, et sortit un sein de son soutien-gorge, avant de le lui donner à lécher. Trop occupé moi-même, je ne vis pas tout de suite que ma mère, elle, s’était placée derrière Samantha, et je la devinais plus que je ne la voyais en train de lécher ses fesses, ou ce qu’il y avait au milieu. Voyant cela, je ne pus résister à l’envie de descendre encore. Je ne m’attardai pas sur les abdominaux saillants de Natasha, et vins directement à sa culotte. J’embrassai rapidement la peau de son aine que je pouvais atteindre puis, de mes deux mains, je fis descendre la culotte, révélant un pubis dont la toison, taillée et soignée, formait un beau ticket de métro. Mais je ne restai pas longtemps à regarder. L’odeur qui s’était échappée de la culotte descendue, une odeur à la fois âpre et suave, mélange de savon et des résultats de son excitation qui avaient rendu sa culotte fort humide, me rendit fou de désir, et je ne pus me contraindre à ne pas la goûter là, tout de suite. Quoi que faisait sa bouche avant que la mienne ne goûte le nectar qui s’était accumulé entre ses lèvres, elle s’arrêta net pour saluer mon arrivée d’un cri de plaisir vrombissant. Et son flot de paroles reprit : « Oh oui mon cochon, bouffe-moi, bouffe-moi la chatte ! Tu aimes ...

... lécher la chatte de ta propre sœur, hein ? OH oui, vas-y, remonte vers mon clito, mais quel pervers c’est pas possible, aah il me lèche, il me suce le clito ! Oh, pourquoi tu t’en vas ? Oh oui, descends, pénètre-moi de ta langue c’est ça, oh oh oh oh oui OUI ! Oh oui, ta main, je sens ta main sur mon clito, fais des ronds, oui, c’est ça continue. Hmmmm oui, remonte plus vite, t’attarde pas, remonte ooh oui ! Hmm, ta langue sur mon clito, maintenant ton doigt dans ma châââtte OOOUUUIIII ! Il va faire jouir sa sœur avec sa belle langue, oui, il va faire j-ouuuuuuiiiiiii c’est ça OUI ! » Elle se mit alors à crier des choses incompréhensibles sous le coup de son orgasme, que j’avais construit patiemment depuis que nous nous embrassions. Je ne savais pas trop ce que je faisais, mais entre l’instinct animal, ce que j’avais pu apprendre en lisant des récits érotiques sur le net et les conseils qu’elle vocalisait malgré elle, je n’eus pas trop de mal à la faire jouir. Je ressentais une immense fierté, un peu bête, à avoir fait jouir ma première femme, surtout Natasha qui, par l’expérience que lui avait accordé son orientation, devait s’y connaitre en cunnilingus. Ma mère et Samantha attendirent que Natasha rouvre les yeux, puis elles se mirent à nous applaudir en riant. « C’était un bel orgasme, dit Samantha ! » Puis elle se mit à quatre pattes, sans même prendre le temps d’enlever son string qu’elle se contenta de tirer de côté, libérant ses deux trous, et me dit : « Après ce que j’ai ...