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La bénédiction (1)
Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... vu, et après ce que maman m’a fait, je ne tiens plus. Viens mettre le gros engin que t’as entre les pattes dans le vagin de ta grande sœur d’amour, et ramone-la jusqu’à ce qu’elle te supplie d’arrêter ! ». Je m’empressai d’obéir. Sur le coup, je ne me rendis pas compte que je m’apprêtais à faire l’amour pour la première fois. Pour peu que « faire l’amour » corresponde à ce que Samantha me demandait de lui faire, ce qui est douteux… Je n’avais jamais vu mon membre aussi gonflé de désir, alors même que la bouche de cette même Samantha avait reçu son lot de sperme quelques minutes auparavant. Pourtant, je ne me précipitai pas, et commençai par faire glisser mon vit le long de la raie des fesses de ma sœur. Je les avais si souvent matées quand je croyais être discret, que le fait de pouvoir les toucher, et les toucher avec mon propre membre viril semblait être une revanche sur la vie. J’entendais Samantha gémir à chaque fois que je coulissais dans sa fente, que j’avais trouvée d’ailleurs lubrifiée, probablement par la salive de ma mère. N’y tenant plus, je reculai mes fesses, pris mon vit en main, et le descendis vers l’ouverture béante de Samantha. Comme elle me l’avait demandé, je n’y allai pas doucement et, d’un coup de reins puissant, je pénétrai entièrement le puits d’amour qui m’était ainsi offert, et que l’excitation avait si bien préparé. Tout à mon plaisir, je restai quelques secondes ainsi sans bouger. Quelle sensation c’était ! Sa bouche était déjà un endroit ...
... merveilleux à visiter, et sentir sa langue courir le long de mon chibre était indescriptible, mais ce qu’elle m’avait fait sentir n’était rien à côté de ce que je ressentais à ce moment-là. J’avais l’impression que tout le reste de mon corps avait disparu, et que mon cerveau n’était pas assez puissant pour être encore capable de traiter un stimulus qui ne viendrait pas de mon sexe. Je ressentais intimement la géographie du vagin de Samantha, et chaque fois qu’il se contractait, il m’envoyait une décharge de plaisir. Sans même bouger, nous gémissions du plaisir que nous nous donnions l’un à l’autre. Mais ce moment, qui parut durer une éternité, ne dura en fait que quelques instants. Très vite, nos corps, sans que nos esprits eussent eu le temps de recouvrer suffisamment de contrôle pour diriger les opérations, se mirent à bouger d’eux-mêmes, entamant l’antique danse. Alors, j’attrapai Samantha par les hanches, et entamai un va-et-vient rapide et profond, initiant ainsi un véritable concert de gémissements de plus en plus débridés. Non, il était clair maintenant que nous ne faisions pas l’amour. Je prenais Samantha sauvagement, et chaque coup de reins venait écraser mon gland au fond de son vagin, la douleur que nous ressentions alors n’étant qu’un carburant pour notre plaisir, qui ne faisait que s’enflammer toujours plus. Tout à son propre plaisir, ma sœur n’était même plus capable de soutenir le haut de son corps et son visage alla s’écraser sur le lit, les bras ballants reposant ...