1. La bénédiction (1)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... très décontractées quand venait ce genre de sujet sur le tapis. Je savais qu’elles ne disaient pas tout lorsque j’étais là, je l’avais deviné grâce à des sous-entendus se référant à des discussions passées tenues en mon absence, me laissant imaginer que leur vie sexuelle était encore plus débridée que ce que je pouvais savoir. Quand elles parlaient de ça, je feignais de ne pas écouter alors même que j’y étais bien plus attentif qu’à n’importe quelle autre discussion qu’elles pouvaient avoir. Et mon esprit analytique a rapidement atteint des conclusions qui enflammaient mes nuits solitaires. J’étais à peu près sûr que mes deux sœurs sans être bisexuelles, avaient toutes les deux à l’occasion des rapports, lors de parties fines, avec le sexe opposé à celui qu’elles pratiquaient habituellement. Ce n’était pas une routine pour elles, mais elles n’étaient pas du tout fermées à cette idée. Ma mère, elle, faisait plus attention à ce qu’elle disait, mais j’étais arrivé à son propos à des conclusions similaires. Je subodorais de nombreuses autres choses, sans cependant réussir à démêler le vrai du faux. Néanmoins, la partie de leur vie sexuelle qu’elles estimaient audible par moi était bien plus grande que ce que toute famille saine devrait partager. Cette ouverture à la sexualité était aussi une différence fondamentale entre nous. Je crois sincèrement que j’étais plutôt beau et intelligent, mais ma confiance en moi fondait comme neige au soleil à chaque fois que je sortais le nez de ...
    ... chez moi, et j’étais très timide. À l’âge que j’avais, chacune d’elles était déjà active sexuellement, là où j’étais encore puceau. Les Charites ramenaient souvent des compagnons (ou des compagnes dans le cas de Natasha), et personne ne semblait être gêné par les bruits que les fines cloisons laissaient passer une bonne partie de la nuit. Peut-être étais-je le seul à en être gêné, ma chambre étant au milieu de celles de mes sœurs, et ma mère dormant au rez-de-chaussée (elle ramenait aussi des compagnons, mais là je n’entendais rien). Je n’avais d’autre choix, si Samantha ou Natasha dormait avec quelqu’un, que de me masturber frénétiquement en imaginant que ce soit moi, et non un(e) anonyme oublié(e) le mois d’après, qui faisait ainsi crier ma sœur. J’en étais là, frustré sexuellement et mal à l’aise dans mon propre foyer lorsque l’année scolaire commença. J’aimais ça, l’école, j’y avais mes amis, mes coéquipiers de hand et des résultats satisfaisants, que j’obtenais sans travailler plus que de raison. C’est donc heureux de voir septembre enfin arrivé que je démarrai cette nouvelle année. Et si j’avais su ce qu’elle me réservait, c’est encore plus impatient que je l’aurais commencée. Je passerai sur les retrouvailles avec mes amis, les cours, les profs et l’équipe, car l’essentiel n’est pas là. L’essentiel, même si je ne le savais pas encore à l’époque, c’était la venue d’une nouvelle élève en provenance des États-Unis, Trish, qui était arrivée durant l’été dans notre région, ...
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