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La bénédiction (1)
Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... trois longues semaines à me languir d’elle, et à me masturber frénétiquement et à jouer en ligne, seul dans la maison, Natasha et ma mère travaillant et Samantha, qui avait le permis et une voiture, passant le plus clair de son temps chez des amis. J’avais tort. J’appris un peu surpris que ma mère et Samantha avaient posé des congés pendant cette première semaine de vacances scolaires. Je ne posai pas de questions, probablement voulaient-elles passer du temps toutes les trois. J’étais convaincu que, quelle qu’elle fût, la raison ne me concernait pas, et que les conséquences seraient minimes. J’aurais un peu moins de temps seul pour me masturber avec les enceintes de mon PC allumées, mais il me restait le casque. De toute manière, elles n’entraient pas souvent dans ma chambre, et jamais sans y avoir été autorisées. Là encore, j’avais tort, mais, bien entendu, je ne le savais pas encore. Je fus encore plus étonné lorsque la première chose que je vis ce samedi matin en ouvrant mes yeux fut ma mère, en peignoir, assise sur le lit. Je n’avais pas prévu de me lever avant midi, et je vis qu’il n’était que 9 heures sur mon réveil. L’esprit embrumé, il me fallut quelques secondes pour comprendre que c’était ma mère qui m’avait réveillé, et qu’elle était en train de me parler. « Coucou maman, pourquoi tu me réveilles ? — Lève-toi chéri. Va prendre un bon petit-déjeuner et une douche, il faut qu’on ait une bonne discussion, ce matin. » Je sentis venir le piège, et je rejouai dans mon ...
... esprit la scène de l’amiral Ackbar (ai-je précisé que j’étais un geek ?). Je me doutais qu’elle avait compris ce que nous faisions samedi dernier, Trish et moi, et je m’attendais à recevoir une leçon sur le respect dû aux femmes, l’importance de se protéger (« tiens, on avait oublié le préservatif, il faudra que j’aille en acheter avant que Trish ne revienne », pensai-je), et tout ça. Autant dire que j’appréhendais pas mal la suite, mais pour qu’elle vienne me réveiller il fallait qu’elle prenne cette mission très au sérieux. J’obtempérai, sans trop faire sentir mon agacement. Après tout, j’aurais encore 14 jours pour flemmarder, et je savais déjà que le lycée et son rythme me manqueraient avant ça. Je ne me demandai même pas pourquoi il fallait que je sois propre pour discuter de ça, mais les désirs d’une mère sont souvent impénétrables. Il était presque 10 heures lorsque, lavé et nourri, je regagnai ma chambre afin de m’y habiller. Je n’avais pas encore vu mes sœurs, sans doute avaient-elles le droit de dormir un peu plus. Je me demandai si elles avaient subi un laïus sur le respect dû aux hommes et l’importance de se protéger. J’en doutais pas mal, mais la parole avait toujours été plus libre entre elles qu’entre ma mère et moi, elles n’avaient probablement jamais eu besoin de décider d’un moment particulier pour parler de pilule (qu’à ma connaissance elles prenaient toutes) et de préservatifs. Au bout de quelques minutes, alors que je me demandais si elle allait venir ici ...