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La bénédiction (1)
Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... relâchant une quantité astronomique de sperme. Je jurai, rouge de plaisir et de honte : « Oh putain merde, je suis désolé chérie ! — Tu… tu as déjà fini ? — Oui, je suis vraiment désolé… » Heureusement pour ma confiance en moi, elle ne se mit pas à rire, comme à chaque fois que j’étais dans une situation un peu délicate. Je ne suis pas sûr que, cette fois-là, son rire aurait dédramatisé la situation… Avant qu’elle puisse dire quoi que ce soit, nous entendîmes la porte du rez-de-chaussée s’ouvrir, et ma mère crier, ayant découvert que ce genre d’humour plaisait bien à Trish : « Baisant ou pas, on arrive ! ». Paniqués (sans mauvais jeu de mots) nous nous rhabillâmes rapidement. Je ne pris même pas le temps d’enlever le sperme qui s’étalait toujours sur mon torse, et le laissai imprégner mon tee-shirt, si bien qu’il ne nous fallut que quelques secondes pour être à peu près présentables, et descendre saluer les arrivantes. Ce que nous faisions quelques minutes plus tôt me semblait évident, tout échevelés et rouges que nous étions, mais aucune des Charites ne fit de commentaire. Mort de honte, je n’osais pas regarder Trish dans les yeux, ce qui ne nous empêcha pas de passer une bonne fin d’après-midi. Étrangement, quand Trish était là, je me sentais plus à l’aise dans ma famille, comme si elle était un lien entre moi et elles, quelque chose en commun, enfin. Un peu plus tard, Trish dut partir, et nous sommes montés ensemble, seuls, dans ma chambre. Une fois la porte refermée, je ...
... commençai le discours que j’avais ruminé depuis l’arrivée des Charites : « Écoute Trish… — Tais-toi, m’interrompit-elle. Ce n’est pas grave ce qui s’est passé tout à l’heure, on en est tous les deux au même point, on découvre tout ça. Et c’est probablement mieux : elles nous auraient interrompus quelques secondes après que nous ayons commencé. Je n’ai pas envie de perdre ma cerise sans aller au bout. Mais essaye d’être prêt la prochaine fois ! » Elle se mit alors à rire, m’entrainant avec elle. Une fois notre hilarité passée, nous nous embrassâmes langoureusement. Elle ne semblait pas en colère, et mieux encore, elle planifiait déjà une prochaine fois. Mais je savais que plus d’un mois passerait avant que nous eussions une chance de remettre ça. La dernière semaine de cours avant les vacances se passa normalement, Trish passa même à la maison le mercredi après-midi, pour nous dire au revoir à moi et à ma famille. Nous n’eûmes pas le temps de fricoter, mais nous le savions. Par contre, elles en trouvèrent suffisamment pour avoir une discussion « de filles », ce qui me mettait toujours un peu mal à l’aise. Elle rentra chez elle, vint encore en cours jeudi et vendredi, et je la laissai partir le vendredi soir sachant que, très tôt le lendemain, elle serait dans l’avion pour son pays natal. J’étais triste, mais je savais que ce voyage lui ferait plaisir. Malgré son installation agréable ici, elle avait le mal du pays. Je ne pouvais pas le lui reprocher. Je m’attendais à passer ...