1. LE JOLI MOIS DE MAI : 13ème épisode


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... corps nus sous le léger tissu de leur robe. Elles apparaissent quasiment nues aux petits veinards qui n’ignorent plus qu’elles ne portent aucun sous-vêtement. La simple vue de ces ombres chinoises est terriblement érotique et je sens battre mon cœur un peu plus fort. Arrivées devant un marchand de fringues, je les vois comparer sur elles les tenues qu’elles préfèrent. Le jeune vendeur, de type maghrébin, peau mate, cheveux très noirs ; leur propose de les essayer dans la cabine. Lui non plus ne peut s’empêcher de profiter du spectacle qui lui est offert. Les filles s’amusent visiblement à l’allumer en lui demandant son avis : - « Et vous en pensez quoi ? » - « C’est pas trop moulant ? » - « Ça vous plait quand c’est un peu court comme ça ? » fait Christelle en remontant un tee-shirt long jusqu’à laisser entrevoir son sexe épilé. Là, le garçon doit bander comme un fou. Louise s’en aperçoit et en se faufilant vers la cabine d’essayage, l’attrape au vol. Propulsé derrière la toile qui se referme instantanément, il doit vivre un moment comme il ne lui en sera pas donné beaucoup dans sa vie : entrepris par une superbe amoureuse, experte en jeux érotiques. Je l’imagine en train de s’agenouiller devant lui, d’extirper son sexe et de le sucer jusqu’à ce qu’il bande assez pour la prendre. Ma femme complice de ce kidnapping se positionne devant la cabine et comme si elle conseillait sa bonne copine, assiste en entrebâillant le rideau à toute la scène. D’où je suis je devine qu’elle ...
    ... est en train de se caresser car ses jambes se sont un peu écartée, sa robe relevée par sa main libre se trouve plaquée contre son joli cul. Son talon droit s’est relevé et écartant encore plus ses cuisses elle peut se donner plus de plaisir. La toile de la cabine s’agite comme prise dans une rafale de vente et alors que j’entre moi-même sous l’auvent du commerçant, j’entends clairement les grognements de l’homme qui baise Louise. Je ne suis pas le seul puisque je croise les regards interloqués de badeaux qui se demandent d’où viennent ces gémissements explicites. Je reconnais un petit cri et j’imagine le visage de Louise se mordant la lèvre inférieure, les yeux grands ouverts fixant le vide alors qu’un inconnu se répand en elle. Je rejoins Christelle dans l’entrebâillement de la cabine et voit effectivement ma rousse incendiaire en train de réajuster sa robe tirebouchonnée sur la taille et relevée sur les hanches. Pendant que son étalon arabe rengaine son arme dans son jean. À ses pieds une capote pleine de sperme et un tee-shirt piétiné qu’il aura du mal à vendre maintenant. Encore essoufflée et le rouge aux joues, nous laissons Louise sortir de la cabine et lancer à la cantonade : - « Non, finalement, je ne le prends pas, il est trop petit !" Heureuse de son trait d’humour, elle nous fait un clin d’œil et nous nous éloignons sous le regard réprobateur de certains, envieux des autres, en laissant reparaître le vendeur qui essaie de faire bonne figure pour les clientes qui ...
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