1. LE JOLI MOIS DE MAI : 13ème épisode


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... chef et le jeune stagiaire en Bac professionnel. Petite femme dans la quarantaine, un peu ronde mais ne manquant pas de charme, elle est pourtant célibataire. Habillée de manière assez austère elle pourrait se mettre beaucoup plus en valeur. Une jolie bouche aux lèvres pulpeuses, blonde, les yeux d’un bleu très clair, une forte poitrine qu’elle essaie de contenir dans des chemisiers trop stricts. Je l’ai saluée en entrant bien sûr et je l’ai trouvée plutôt contente de me voir. Je file vers le bureau de Christelle et attends qu’elle ait fini de ranger ses dossiers. Nous entendons la voix d’Isabelle nous prévenir de son départ et de celui du stagiaire qu’elle dépose tous les soirs à l’arrêt de bus. - « Bonne soirée à vous aussi ! » lui répondons-nous en chœur. Christelle baisse les stores vénitiens des baies donnant sur le parking et sans que je m’y attende se jette sur moi, m’embrasse comme elle le fait quand elle a envie de baiser. Plaqué dans le fauteuil à roulettes où je l’attendais, je la laisse défaire ma cravate, ouvrir ma chemise et desserrer la ceinture de mon pantalon. Les boutons ne lui résistent pas plus longtemps que la fermeture à glissière et elle agrippe mon sexe par surprise pour le caresser en me disant : - « J’ai eu envie de toi très fort cet après-midi ! » Visiblement cette envie ne l’a pas quittée. Elle me secoue la bite frénétiquement et obtient très vite ce qu’elle cherche. Quand je bande suffisamment à son goût, elle se recule et en s’ouvrant se pose ...
    ... sur son bureau fraîchement débarrassé. Je ne peux m’empêcher de croire qu’elle y pensait déjà quand elle rangeait « innocemment » ses affaires tout à l’heure. Le pantalon descendu sur les chevilles je n’ai heureusement pas beaucoup de chemin à parcourir pour la rejoindre et la prendre. À la hussarde, je la secoue sans la ménager. Je sais bien qu’elle aime faire l’amour comme ça et effectivement ses ongles plantés dans mes reins pour m’encourager, sont comme les coups d’éperons du cavalier pour sa monture. Mais je sais aussi comment la faire grimper plus haut que lors d’un petit coup vite fait bien fait. Je stoppe mes mouvements et elle comprend ce que je vais lui faire quand je l’allonge sur le bureau et que je me penche sur elle pour la caresser. J’aime son odeur, son sexe est mûr à point comme un fruit que je n’ai qu’à cueillir. Je l’embrasse et pose mes dents sur son clitoris gonflé de plaisir. Je recueille ses sucs et les mélange avec ma salive pour rendre plus doux encore mes coups de langue. Dès que je la sens s’approcher de l’orgasme je m’éloigne et retourne la pilonner de nouveau. Alternant coups de bites et coups de langue je parviens ainsi à la faire jouir à chaque fois. Pour mieux succomber à mes caresses elle vient à la rencontre de ma bouche avec des mouvements de son bassin. La bouche pleine de son goût, je me redresse, plonge en elle tout en l’embrassant. Elle retrouve sur moi sa propre odeur et quand je gicle en elle, une seconde vague de plaisir l’emporte. Je ...
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