1. LE JOLI MOIS DE MAI : 13ème épisode


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... l’attendent. Nous rejoignons la voiture sur le parking et rentrons sans autres péripéties à la maison. Ce midi : brochettes de saint Jacques au romarin. Je vais essayer un Crozes-Hermitage 2009 pour les accompagner. Abrités du vent qui s’est levé nous nous prélassons dans le jardin. Pour parfaire son bronzage intégral commencé chez Valérie et Nicolas, Christelle est nue, offrant au soleil de mai sa peau dorée. Louise nue elle aussi, finit de saisir un dossier sur son ordinateur. Assise les jambes écartées, les pieds de part et d’autre du bain de soleil en teck, elle est d’une impudeur incroyable et d’une beauté folle. Je les regarde toutes les deux par-dessus le livre que je fais plus ou moins semblant de lire. Quelle chance j’ai de vivre de tels moments. Une femme que j’aime, amoureuse, qui se révèle une maîtresse formidable, une amie tout aussi douée au lit et des copains qui nous font découvrir ou qui découvrent avec nous les plaisirs du libertinage. D’ailleurs il faut que nous pensions à rappeler Lisa et Sébastien. Louise est rentrée par le train de dix-neuf heures pour Bordeaux. Arrivée à vingt-trois heures sept. Valérie l’attend, une autre amoureuse de la vie et du plaisir. Ce soir nous nous couchons de bonne heure et laissons nos corps d’athlètes se remettre de leurs émotions. Particulièrement sollicitée Christelle préfère ménager sa délicate monture. Je ne lui cache pas que j’ai besoin moi aussi de recharger mes accus. La semaine a repris avec son rythme de ...
    ... croisière. Christelle et moi gardons le contact via Skype par des messages écrits le plus souvent anodins (rappel de courses à faire, ou commentaires sur telle ou telle mésaventure au travail. Mais ce mercredi après-midi, je reçois d’elle un message avec un smiley « clin d’œil » me signalant qu’elle a hâte de rentrer à la maison. Seul devant mon ordinateur je lui réponds intrigué et nous entamons une discussion de plus en plus coquine. La tension monte à chaque message, de plus en plus explicite et je décide de me pointer à l’improviste au bureau de mon adorable épouse. Outre l’effet de surprise, j’espère la convaincre malgré sa responsable de site d’une fin de journée anticipée. Sa supérieure hiérarchique m’aime bien je crois et je compte sur mon pouvoir de persuasion pour lui arracher cette concession. La période est assez calme dans son secteur et elle non plus ne devrait pas beaucoup manquer à ses collègues. Je m’engouffre dans la voiture et me rends sur son lieu de travail. Il me suffit de m’engager sur le périphérique pour me retrouver pris dans un embouteillage monstre dont seule Nantes a le secret. J’arrive donc à dix-huit heures trente à son bureau. À cette heure il n’est plus nécessaire de réclamer quoique ce soit : c’est bientôt l’heure de la fermeture. Par contre l’excitation de Christelle n’est pas retombée et échauffée par notre discussion sur Skype, elle aimerait bien profiter de moi tout de suite me glisse-t-elle à l’oreille. Il ne reste plus au bureau qu’Isabelle, sa ...
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