1. LE JOLI MOIS DE MAI : 13ème épisode


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... retombe épuisé sur elle. Mon cœur cogne dans ma poitrine et entre deux bouffées d’oxygène je lui confirme que je l’aime en lui disant : - « Comme c’est bon !... Tu me fais jouir ... » Nous finissons par reprendre nos esprits. Avec cette démarche forcément ridicule liée au pantalon toujours à mes chevilles j’attrape son sac posé plus loin, y trouve parmi mille choses un paquet de mouchoirs. Elle retient mon sperme avec celui que je lui tends pour ne pas en mettre partout sur la moquette ou le bureau. Sa robe encore relevée sur les hanches elle sort du bureau et tombe nez à nez avec Isabelle, elle aussi la main entre les cuisses mais pour d’autres raisons. - « Je suis désolée, j’avais oublié le dossier MS Décor...» La bite encore à l’air, je lui réponds : - « Ne soyez pas désolée Isabelle ! Ça vous a plu ? » - « Euh... j’ai trouvé que vous avez de belles fesses ? » - « Et ma bite ? Elle vous plait ? » Cette jolie salope nous matait depuis le début en se caressant le minou en silence. Mi gênée, mi intriguée, Christelle s’est éloignée vers les toilettes me laissant avec sa supérieure hiérarchique bien embêtée maintenant. Il ne va pas être simple de reprocher quoique ce soit à sa collaboratrice sans s’expliquer sur ses doigts encore mouillés. - « Allez venez ne soyez pas timide. Je ne mords pas ! » Je me sens tout ragaillardi devant cette petite bonne femme gironde. Je lorgne vers ses seins lourds de manière de plus en plus appuyée et comme elle s’en aperçoit elle aussi s’enhardit ...
    ... : - « J’ai bien aimé comment vous avez fait l’amour à Christelle...» - « Qu’est-ce qui vous a plu ? » - « Tout ! En fait j’aurai bien aimée être à sa place. » Revenant des toilettes, Christelle rebondit sur ces propos et lui propose de tester ma résistance : - « Qu’en dis-tu Pascal ? Elle est à ton goût je pense ! » - « À mon goût et coquine j’en suis sûr » dis-je en remarquant dans ses yeux cette lueur qui anime le regard de toutes les femmes amoureuses. D’un geste, je l’encourage à se rapprocher afin qu’elle ranime ma flamme. Elle minaude pour la forme mais je vois bien qu’obnubilée par mon sexe que je commence à caresser, elle en meurt d’envie. En manque peut-être ? Très vite son chemisier est ouvert pour laisser le champ libre à mes investigations autour de ses seins. Un soutien-gorge blanc très simple contient difficilement deux sphères qui ne demandent qu’à jaillir de leur carcan de coton. Délicieusement potelée, elle est très réactive à mes attouchements et s’enhardit jusqu’à saisir ma bite qui grossit à vue d’œil. Je la fais descendre en lui appuyant sur les épaules un étage plus bas pour que ce soit avec la bouche qu’elle me réveille maintenant. Pas très douée en matière de pipe la chef ! Je dois encadrer ses mouvements désordonnés en lui expliquant comment faire : - « Doucement ! Tu prends ma queue dans ta main et en douceur tu me branles... Comme ça, c’est bien... Maintenant tu me prends dans ta bouche mais seulement le gland et tu refermes tes lèvres autour... et ...
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