1. LE JOLI MOIS DE MAI : 13ème épisode


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... tu t’amuses en tournant autour avec ta langue. C’est mieux... ». C’est mieux mais toujours un peu empruntée, elle a du mal à coordonner ses gestes et à respirer en même temps. C’est Christelle qui vient à sa rescousse en se plaçant à côté d’elle pour lui apprendre par l’exemple comment faire bander un homme. À elles deux elles arrivent bien vite à obtenir le maximum de moi. En dépit de notre séance de baise encore toute récente, je suis tout excité par le fait de me faire sucer par deux femmes, sur leur lieu de travail. Je reprends des couleurs sous les soins de ma femme et de sa responsable. Sous mes yeux ses seins encore prisonniers sont un véritable appel à la branlette espagnole...Je me surprends à avoir des réflexes de vieux pervers lubrique mais je suis encore plus surpris par le comportement de Christelle qui se lâche complètement depuis notre séjour à Angers. Elle ose tout, partout, avec un inconnu, voire plusieurs, avec des femmes, dans des positions et des endroits parfois incongrus. La cinquantaine triomphante ! C’est maintenant elle qui s’affaire sous la jupe du tailleur d’Isabelle. Je vois sa main disparaître entre ces cuisses qui imperceptiblement s’ouvrent en grand pour lui faciliter l’accès à son trésor intime. La bouche pleine de ma bite Isabelle a du mal à s’abandonner complètement, aussi je la libère et lui propose de prendre la place qu’occupait Christelle quand elle nous a surpris. À son tour allongée sur le plateau du bureau, elle se fait caresser par ma ...
    ... femme qui s’en empare à pleine bouche. Le rempart de la petite culotte cède très vite. La jupe retroussée, la petite coquine se retrouve, impudique, cuisses écartées se faisant brouter le minou par sa meilleure collaboratrice pendant qu’elle empoigne son mari maladroitement. Je me fais l’effet d’une barre de métro parisien à laquelle elle s’accrocherait, bousculée par la foule. Sous les caresses expertes de ma femme, Isabelle jouit très vite. Sous l’effet du manque sûrement aussi. Mais nous n’en n’avons pas encore fini avec elle et c’est à mon tour de faire plus intimement connaissance avec notre réceptive petite coquine. Protégé par une capote prise dans le sac de Christelle. Je promène, sadique, mon gland sur le clito encore vibrant de l’orgasme qu’elle vient d’avoir. Je lui arrache ainsi des gémissements mi plainte, mi encouragements, puis je plonge en elle comme j’aime le faire : inexorablement. Elle mesure ainsi l’excitation qu’elle provoque chez moi et en profite pleinement. Je n’ai qu’à aller et venir en elle quelques dizaines de fois pour qu’elle soit emportée par un tsunami. Elle se met à crier en faisant des mouvements incontrôlés et incontrôlables. Elle ameuterait l’immeuble entier s’il n’était pas si tard. Ce corps replet aux rondeurs alléchantes avec ses plis, ses replis me plait. Son grain de peau très doux est un délice et son odeur est chaude, un peu sucrée. Rien à voir avec les créatures sportives et musclées que j’aimé prendre depuis quelques semaines. Elle ...
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