Sous le nez de la mariée (2) - Histoires de Sexe

Sous le nez de la mariée (2)

... L’emballement dont il faisait preuve plaisait beaucoup à la jeune fille : des lèvres il passait aux joues, puis au cou, pour glisser jusqu’à la poitrine. Alors que c’était l’effervescence, Lucie rappela son ami à la raison : — On va pas faire l’amour dans la voiture… Allons dans un lit, on sera mieux. Ils sortirent. Cela ne se voyait pas dans l’obscurité, mais la jeune fille était une vraie pivoine. Ils marchèrent côte à côte, une main aux fesses de temps en temps. Vraiment trop pressé, Hugo proposa : — Hé, Lucie… on court un peu ? — Ouais ! Et avec des rires, leurs pas résonnaient dans les rues silencieuses. Une fois dans l’hôtel, ils firent attention à ne pas déranger les gens qui dormaient – il était plus de deux heures – puis ils se glissèrent dans la chambre. La robe fit un grand « zip » et tomba pendant que les deux jeunes gens étaient en train de s’embrasser. — Lucie, j’y pense… j’ai pas pris de capotes. — Je te l’ai dit : tu as le droit. — Tu es sûre de moi ? — Oui. T’es parmi les mecs les plus sérieux que je connaisse. Et puis j’ai déjà pris ton sperme dans la bouche, de toute façon ; donc si t’as un truc, c’est déjà trop tard. Elle le prit par la nuque et se laissa tomber sur le lit, écartant les cuisses. Hugo lui enleva sa culotte et commença à jouer avec sa vulve, usant de ses doigts, de ses lèvres ou de sa langue. De la chaleur en émanait déjà : la fellation l’avait mise dans un état de désir énorme et son esprit n’avait cessé de la faire fantasmer. Elle ...

... serrait les tempes entre ses cuisses et soupirait volontiers. Les doigts du garçon partirent dans l’orifice pour en ressortir scintillants. Elle était prête – et même désireuse – à commencer directement le rapport, mais c’était si bon de se faire lécher l’intimité comme ça ; Hugo ne faisait que lui rendre ce qu’elle lui avait donné un peu moins d’une heure plus tôt. Comme elle s’était régalée de sa bite, il se régalait de sa chatte et caressait de ses lèvres buccales les génitales ; sa langue lapait la vulve et les aines, titillait le clitoris et s’essayait même à visiter un peu l’intérieur pendant qu’il passait tendrement ses mains sur les belles cuisses fermes. — Oh… Oh oui ! Oui, comme ça… comme ça ! Ah ! Elle parlait d’une toute petite voix pour ne pas déranger les chambres voisines, mais son amant était si doué qu’elle approchait à grand pas du plaisir ultime. Il était à deux doigts de le lui donner, alors il les secoua et, au bout de quelques secondes, Lucie succomba. Elle l’appela à cesser : il fallait maintenant passer aux choses « sérieuses ». Hugo se déshabilla intégralement pendant qu’elle retirait son soutien-gorge. En caressant son sexe avec de la salive, dans l’idée de la pénétrer tout de suite, le garçon fut invité à s’approcher de son visage et, une nouvelle fois, elle le suça. Cette fois, il pouvait se permettre de râler et elle de gémir de plaisir, de donner des baisers dont le bruit l’excitait. Tout comme Clara, Lucie était très amoureuse des verges, et cela se ...