1. Sous le nez de la mariée (2)


    Datte: 08/08/2020, Catégories: Hétéro

    ... voyait dans leurs fellations. — Qu’est-ce qu’elle est belle, ta queue… Qu’est-ce qu’elle est bonne… — Oh, Lucie… toi aussi, tu es si bonne… Puis il lui proposa de faire des photos et des vidéos afin de les montrer à leurs moitiés respectives ; elle accepta avec plaisir et Hugo prit son téléphone pour capturer sa maîtresse sous plusieurs angles de vue. À son tour, elle le photographia et le filma quelques secondes entre ses cuisses. Lucie les écarta quand le désir commun fut à son paroxysme et Hugo souhaita filmer ce qu’il trouvait toujours de plus beau et de plus intense dans un rapport sexuel : la première pénétration. La jeune fille étira un peu ses belles lèvres et la puissante verge glissa toute seule. Les chairs se rendaient volontiers la caresse tandis que les deux êtres faisaient l’amour avec bonheur. Pour le plaisir de sa partenaire, Hugo allait déjà plus vite, puis il cessa de filmer un instant pour se donner tout entier. Il s’étendit sur elle, les mains autour du beau visage et continua ses mouvements pour profiter encore du plaisir que lui offrait son sexe. Le jeune homme approcha sa bouche, et le baiser fut le plus simple et le plus normal du monde. Son amie, soupirante, passait ses mains partout sur son corps, sur son dos et ses épaules. Elle entravait le bassin avec ses jambes. Ah, qu’elle aimait ça ! Elle se le disait presque à chaque fois, mais le copain de sa meilleure amie était vraiment un baiseur exceptionnel ; il jouait de sa verge et de ses reins comme ...
    ... peu d’autres amants, un homme tout à l’écoute qui – on le voyait dans ses yeux – jouissait autant d’être dans un vagin que de voir et sentir le plaisir chez sa partenaire. — Hum, oui, vas-y plus vite… Prenant appui sur ses bras tendus, le jeune homme offrit exactement ce qui lui était demandé ; Lucie fut prise d’une vive grimace tant c’était bon. Ses seins bougeaient en cadence. Elle ne pouvait plus contenir ses râles. La jeune fille s’était retrouvée dominante, sur son partenaire. Ses mains rapprochées sur le torse masculin, elle avait les bras serrés qui aidaient à faire ressortir ses seins blancs et volumineux que les hommes – mais aussi des femmes – aimaient très souvent. Hugo les mettait dans ses paumes ; ils avaient cette grande douceur commune aux poitrines de ces demoiselles. Sans précipitation, Lucie bougeait énergiquement ; elle avait une ferveur qui se ressentait et se voyait sur son visage. La dure bite qu’elle faisait glisser chatouillait terriblement sa chair, plus encore du fait de n’avoir aucun morceau de latex pour les séparer. Sa vigueur augmentait, et Hugo entendait ses respirations : il la caressa sur les cuisses, les seins, les bras, partout où il pouvait. Puis en voyant qu’elle allait être splendide d’un instant à l’autre, il attrapa son téléphone pour la filmer. — Tu vas jouir ? Oui ? Vas-y, ma belle, te gêne pas. Oui, vas-y ! Hmm ! Je tiens le coup, n’hésite pas ! À ces mots rassurants, elle se donna à fond ; Hugo avait une sacrément belle érection, ce ...
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