Sous le nez de la mariée (2) - Histoires de Sexe

Sous le nez de la mariée (2)

... qui l’aidait beaucoup, et il lui touchait la vulve en même temps ; et là, l’explosion. Lucie, en s’empêchant de crier, grognait tandis que sa chatte s’emplissait d’un petit torrent tout chaud. Elle s’arrêta pour souffler, longtemps. — Ouf… Ouah ! Ouh, j’ai… j’ai besoin de m’en remettre, ha ha ! Elle eut un nouveau frisson dans toute la chair ; quel orgasme ! Parmi les plus fabuleux qu’elle ait connus, à n’en pas douter. La jeune fille colla sa poitrine contre celle de son partenaire – dont la verge toujours droite à l’intérieur d’elle – et ils se câlinèrent en échangeant de doux baisers d’amitié sexuelle. — Merci beaucoup, chéri… — Tout le plaisir est pour moi. — Et toi, comment tu te sens ? Ça va ? — Oui, je peux durer encore quelques minutes… tu veux ? — Oh oui ! Elle fut invitée à s’allonger sur le ventre, un oreiller sous le pubis. En voyant la queue brillante, Lucie voulut la sucer encore un peu pour apprécier ses propres fluides sous l’objectif du téléphone. Hugo se plaça derrière elle et lui caressa les fesses avant d’avancer son membre et de recommencer la visite. Il coupa bientôt son appareil pour poser ses deux mains sur le beau cul offert, puis s’étendit contre la jeune fille. — J’aime beaucoup ça… lui susurra-t-il. Dans ce lit, Hugo et Lucie continuaient de faire l’amour avec tantôt de la tendresse, tantôt de la vigueur qui claquait les fesses. Elle se donnait toute à lui et lui tout à elle ; il y avait une osmose entre ces draps froissés et tachés. La maîtresse ...

... était dorénavant étendue sur le flanc, jambes serrées, pendant que son partenaire la pénétrait à genoux. Elle aimait bien les rapports un peu endurants : aux alentours de trente minutes, généralement, c’était parfait. Cela en faisait une bonne vingtaine que le coït avait commencé et Lucie se trouvait au pinacle du plaisir sexuel « simple » : si elle n’avait pas eu d’orgasme, ça lui aurait suffi pour dire qu’elle avait fait une très bonne baise. C’est à ce moment-là qu’elle disait à ses amants « Tu tires quand tu veux. » Justement, pour Hugo le plaisir commençait à changer : il était temps d’achever la délicieuse bataille. — Hum, ma belle… j’ai envie d’unecreampie. Ça te ferait plaisir ? — Oh oui, pourquoi pas ? La bite enserrée, avec ses veines puissantes, donnait un plaisir intense aux deux amants ; Hugo allait un peu plus vite, désireux d’éjaculer sans avoir à faire attendre la demoiselle. Cette dernière lui tendit le téléphone qui se trouvait sur le matelas et il filma de près leurs parties génitales unies. Pour la seconde fois de la soirée, Lucie se fit remplir le corps par le copain de sa meilleure amie ; elle sentit qu’il déchargeait beaucoup de liquide. Elle fut heureuse de voir son visage se crisper sous la jouissance. Il resta un instant dans son cocon, bien au chaud et toujours rigide, avant d’en sortir lentement. Gardant son téléphone à la main, il le mit bien en face des lèvres ; Lucie contracta plusieurs fois son vagin – dans lequel le jeune homme avait éjaculé ...