Sous le nez de la mariée (2) - Histoires de Sexe

Sous le nez de la mariée (2)

... profondément – pour que les premiers paquets de sperme sortent et coulent le long de sa lèvre, de sa fesse, puis sur le matelas. Hugo trouvait toujours cela magnifique à regarder, et son amie drôle à faire. Il arrêta de filmer puis s’approcha du beau sexe pour le lécher. Comme c’était la première fois qu’il faisait cela, Lucie en fut surprise. — Un peu de mon sperme chaud, je ne déteste pas. Les doux passages de langue l’électrisaient un peu. Elle avait la chatte trempée d’un mélange de cyprine, de semence et d’un peu de transpiration. Cela ne dérangeait pas son partenaire qui ne cessait d’honorer sa vulve ; ce n’était pas tout de dire qu’il les adorait, il le prouvait aussi. À tel point que même Lucie, qui pourtant était une fille qui aimait le cunni, finit par s’approcher de la lassitude. — Mon cher ami, venez aussi m’embrasser une autre bouche. Étendus l’un en face de l’autre, ils se firent nombre baisers ainsi que des caresses partout sur le corps, mus par une amitié intense accompagnée des endorphines du rapport fraîchement terminé. Elle aimait les hommes, il aimait les femmes : par la force des choses, ils s’aimaient en cet instant. Quand la tension fut retombée, ils étaient inspirés pour la discussion. — Je viens d’y penser : j’aurais quand même pu te rendre la pareille aux toilettes. — Je te l’aurais demandé, tu me connais. Je savais qu’on m’entendrait si tu me faisais une gâterie. — Et moi, tu m’as trouvé comment ? — Je n’ai jamais eu un mec aussi silencieux pendant ...

... qu’il se faisait sucer ! — C’était dur. Vraiment très dur. — J’imagine, ça se sentait. — Et sinon, rien à voir : comment ça se passe, tes cours ? — Super, on vient d’attaquer le sujet de la paresthésie. — La quoi ? L’étudiante en neurosciences commença donc à expliquer, aussi simplement que possible, en quoi consistait ce trouble du système nerveux. Hugo, de par son métier et son CAP, avait appris un certain nombre d’informations sur les muscles du corps humain et sur les terminaisons nerveuses, mais c’était bien là toute l’étendue de son savoir scientifique ; elle qui travaillait sur le cerveau avant même d’avoir passé son bac, elle avait un niveau inatteignable pour lui. Ils discutèrent longuement ; aucun n’était fatigué en dépit de l’heure tardive et de leurs galipettes. À quatre heures et demie passé, ils firent preuve de raison et se brossèrent les dents avant d’éteindre la lumière. — Lucie… — Oui ? — Est-ce que c’est raisonnable, si… tu avais envie de faire des bêtises dans le noir, cette fois ? — Encore ? Tu t’arrêtes jamais ! s’amusa-t-elle. — Bah écoute, j’aime ça. — Non, mon chou. S’il n’y avait pas de route à faire demain, je te serais montée dessus ; mais là il faut dormir. — D’accord. Dommage. — À charge de revanche, t’inquiète. — C’est bête qu’on n’ait pas su qu’on allait au même mariage : on aurait pris qu’une seule bagnole. rhyrqqtp * * * De retour chez lui, Hugo trouva sa copine qui venait d’arriver elle aussi ; elle déballait tout juste ses affaires. Il lui ...