1. Une inconnue dans l'autobus


    Datte: 10/08/2020, Catégories: f, Collègues / Travail bus,

    ... prolonger mon plaisir à l’infini. Je suis déjà bien mouillée. Je passe furtivement le doigt sur mon clitoris à travers mon pantalon léger. J’ai la surprise de constater ma réaction immédiate. Je ne pensais pas qu’à travers mes vêtements je puisse sentir aussi bien mes caresses. Alors c’est décidé, c’est de cette manière que j’aurai mon plaisir. Ma main se positionne innocemment sur ma cuisse. Ainsi, mon majeur peut s’avancer directement sur mon clitoris sans que ma main n’ait l’air de bouger. Un coup d’œil autour de moi me confirme que personne ne m’a vue faire. Ils pourraient me voir, je ne dois donc pas laisser mon plaisir paraître sur mon visage. Un défi de plus. Mais quelle excitation ! C’est une vraie flaque qui coule maintenant dans le fond de ma culotte. De la main droite, je continue à vaquer à mes tâches et mes yeux tentent de se concentrer sur l’écran. Je fais semblant de lire, et même j’arrive à lire un peu. Pendant ce temps, mon doigt s’active très très lentement. La progression de mon plaisir sera très lente. Le téléphone sonne même environ dix minutes plus tard et j’arrive à répondre à peu près normalement. Je me surveille de près. Il n’est pas question que je sois surprise. Quelle honte si un de mes collègues de travail me découvrais le visage torturé par le plaisir. Alors je tente de conserver une expression neutre. Le plaisir monte en moi. Ma culotte en entier doit être trempée. Mon ongle gratte mon bouton de plaisir à travers le tissu. Je trouve cela ...
    ... divin. Je respire profondément pour accueillir une vague de plaisir qui pourrait me faire gémir. Mes yeux se ferment presque malgré moi. Je fais un effort pour ne pas succomber. Je dois résister à ce plaisir qui monte. Je sens qu’un orgasme est imminent. Mais je peux le retarder encore quelques minutes. Je fais un effort surhumain pour empêcher mon doigt de s’accélérer. Je garde un rythme lent. J’agace mon clitoris presque douloureux régulièrement. Et c’est un petit choc électrique à chaque fois. Je ralentis un peu la cadence, une fois par seconde. Je sens que je suis prête à exploser, mais je ne peux pas jouir au milieu du bureau. Ma respiration devient difficile. Mes traits se contractent. Ma bouche n’arrive plus à se refermer. Je sens même l’odeur de ma mouille qui traverse mon pantalon. J’ai l’impression que tout le monde peut sentir cette odeur de sexe. Un petit coup d’œil aux alentours me rassure. Chacun vaque à ses occupations. La tension est extrême. Je ne vais pas pouvoir résister très longtemps. Je ne peux pas non plus m’arrêter, pas dans cet état d’excitation intense, pas si proche d’un orgasme libérateur. Mon doigt se fait plus insistant sur mon clitoris qui commence à s’engourdir sous le frottement. Je voudrais être pénétrée à l’instant même. Je sens un cri monter en moi, mais je l’étouffe dans un toussotement incongru. Mon corps se plie de plaisir. Je ne peux plus rester immobile. Pourtant il le faut. Je ne peux plus résister, il faut que je jouisse. Les vagues de ...
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