Bal masqué (9)
Datte: 23/08/2020,
Catégories:
Transexuels
... continua Lydie. On va régulièrement en club. Avec tes grands-parents. Alors là, j’étais sur le cul. J’avais toujours pris Papi et Mamie pour des gens bizarres, mais à ce point ! Et une question me vint aussitôt à l’esprit : est-ce que Papa était au courant ? Question qui en amena une autre puis encore une autre. C’était sans fin. — Pour résumer, conclut Lydie, j’ai très envie de faire l’amour avec toi. Maintenant, si tu ne veux pas je comprendrais. Je restai silencieuse un moment. Trop d’informations à digérer. Charles déboucha une autre bouteille de champagne et remplit les flûtes. J’avais fait l’amour avec un couple de l’âge de mes parents, couple qui m’avait dépucelé. Aujourd’hui, c’était un couple de l’âge de mes grands-parents qui me demandait de coucher avec lui. Fallait avouer que malgré leur soixantaine, Charles et Lydie étaient séduisants. Et Lydie diablement sexy et attirante. Mais l’image de Driss me revint à l’esprit. Pouvais-je passer à autre chose aussi vite ? Et combien de temps devait durer de mon deuil ? — Pour être honnête, commençai-je, il n’y a que six mois à peine que j’ai une activité sexuelle. C’est un couple, ami de mes parents, qui m’a tout appris. Avec les femmes et avec les hommes. Donc, si ça vous dis, je suis partante. Mais je ne suis pas sure d’être à la hauteur de vos attentes — Moi, je n’ai aucun doute là-dessus, répliqua Charles Lydie s’approcha de moi et m’embrassa sans faire de chichi. Sa main se posa sur mon genou et glissa sous ma jupe ...
... jusqu’à mon intimité. Charles débarrassa la table basse et la poussa sur le côté. Lydie se leva et me prit par la main. Elle entama un slow langoureux où les mains baladeuses se disputaient aux longs baisers. Charles se plaça derrière nous et se chargea de nous déshabiller. Si j’avais remarqué que Lydie ne portait pas de soutien-gorge, elle n’avait pas deculotte non plus et mon sexe tendu toucha lavulve lorsque Charles retira mon string. Lydie se cala dans le fauteuil, les jambes par-dessus les accoudoirs, m’offrant sa chatte lisse à ma langue. Je compris d’où venait la sensation étrange lorsque mon sexe avait touché le sien : quatre anneaux dorés ornaient les lèvres de sa vulve. Sans parler des tatouages. — Ta grand-mère à les mêmes, déclara Lydie, provocatrice. J’écartai les lèvres en tirant doucement sur les anneaux et plongeai ma langue. J’entendis Charles se déshabiller à son tour. Il s’approcha se sa femme, le sexe dressé devait lui tel un éperon. Un sexe long et fin surmonté d’un gland large, comme une tête de champignon. Lydie le goba avec gourmandise. Charles se dégagea et s’approcha de moi. Lui aussi, avait un anneau planté dans son gland. Je goûtai ce sexe si particulier. Différent mais tout aussi agréable en bouche. Lydie se joignit à moi, suçant son mari et me masturbant. — Prends-moi, proposa-t-elle. Elle reprit sa place dans le fauteuil. Ses petits seins s’étalaient sur son buste, les tétons arrogants dressés au-dessus d’aréoles sombres. Je glissai en elle. ...