Samuel et Stéviana
Datte: 24/08/2020,
Catégories:
hh,
couleurs,
prost,
grossexe,
anniversai,
amour,
volupté,
Transexuels
Oral
hdanus,
hsodo,
... pas seulement contre moi. De quel droit s’était-il permis de se comporter ainsi avec moi ? Il n’avait pas le droit de me faire ça, de me mettre mon foutu nez dans la merde de mon existence, de me faire prendre conscience que je fonçais dans le mur en entraînant ma sœur avec moi! Heureusement qu’il n’allait pas revenir ! Il avait pas intérêt ! Parce que ses doux sourires, j’allais les lui enfoncer dans la gueule à coups de pied, oui ! Non mais, il allait apprendre à jouer avec la sensibilité des gens ! Une semaine plus tard, il est revenu. Je n’ai pas pu lui casser la gueule parce qu’il souriait trop. Et puis, il tenait deux ou trois bouquins dans sa main gauche. Ça a éveillé ma curiosité. Il m’a fait une bise légère sur la joue droite, après m’avoir dit : "Bonjour", puis a pris ma main et nous a entraînés à l’intérieur. Je n’avais pas pu placer une seule parole. Dans la chambre, il s’est dirigé vers la commode où était rangée ma caisse, et il l’a sortie de son tiroir. Puis il a mis la main dans sa poche. Avec un sourire amusé, il m’a mis en éventail dix billets de cinq cent francs, devant les yeux. Ça m’a collé un vertige inimaginable ! Cinq heures ! Il voulait s’enfermer dans cette chambre miteuse, avec moi, pendant cinq heures ! Il a rangé les billets et, après avoir remis la caisse à sa place, est allé s’asseoir sur le lit. Il a tapoté la place à côté de lui, une lueur d’invite au fond des yeux. Les bras ballants le long du corps, je suis allée m’asseoir à la place ...
... désignée, comme une bonne petite fille obéissante. Je me sentais hébétée… perdue. Je fixais ce qu’il tenait dans ses mains : un petit livre pas très épais, avec une couverture illustrée d’un dessin naïf aux couleurs criardes. Avant de commencer, il a attiré mon attention en tapotant mon épaule. Je l’ai regardé et il m’a dit, tout en posant sa main ouverte sur son torse : "Samuel, Sa… muel" ! J’ai répété ce qu’il m’avait dit… et j’ai compris ! Et comme je pouvais lire la même lueur d’invite que tout à l’heure, j’ai répondu, de la même façon que lui : "Stéviana". J’étais tellement abasourdie que j’avais failli lui donner mon vrai prénom, celui du garçon que j’étais, il y a longtemps. Et la lecture a commencé. Patiemment, il m’a dicté les syllabes, en me les désignant du doigt, me faisant répéter à chaque fois, reformant les mots pour que je les répète aussi. Et on est arrivé au mot "Fin". Ça faisait un peu moins de trois heures qu’on était dessus. Un livre d’à peine trente pages ! Il restait plus de deux heures ! Il ne donnait pas l’impression de vouloir s’arrêter, puisqu’il a pris le second livre. Il voulait me tuer, ou quoi ? Je n’avais rien compris du précédent… pas un traître mot ! Et là, les choses sérieuses commençaient, parce que ce livre, il ne faisait pas trente pages, ni même cent, mais trois cent cinquante, au bas mot… et en petits caractères ! Savait-il qu’il m’avait payée pour coucher avec moi ? Il n’en donnait pas l’impression ! Il a continué, après que je lui aie offert ...