Samuel et Stéviana
Datte: 24/08/2020,
Catégories:
hh,
couleurs,
prost,
grossexe,
anniversai,
amour,
volupté,
Transexuels
Oral
hdanus,
hsodo,
... pas cherché à vérifier, tellement ils te font confiance ! Donc je leur ai tout dit, après leur avoir déclaré que jamais plus je ne les appellerais madame et monsieur. Bon. Le type qui vous raconte (mal) tout ça me dit que ça serait bien, maintenant, de laisser la parole à Stéviana, pour la suite. Y dit que ça sera plus "fun" ! Elle va vous parler de moi un peu, d’elle beaucoup, et rassurez-vous… va y avoir du sexe ! ***** Stéviana, c’est mon nom "d’artiste", enfin devrais-je dire mon nom de scène. Je l’ai choisi et ne veux pas en avoir d’autre. Mon métier c’est prostituée. Cela en a toujours été ainsi. Du pays d’où je viens, c’est : soit vous naissez dans la "bonne famille", celle des riches, et de leur absence de problème, genre se demander ce qu’on va manger au prochain repas, soit les autres : ceux qui regardent leurs enfants maigrir à vue d’œil ! Moi, je suis née du mauvais côté. Et quand j’ai vu ma sœur souffrir de la faim, je me suis dit qu’il n’y avait pas trente-six solutions. Mais j’ai souffert, et je n’ai pas seulement pleuré la première fois que j’ai vendu mon corps à un inconnu, mais pendant de long mois, à chaque fois. J’ai souffert, bien que j’ai débuté dans le métier en tant qu’homme, certes un peu efféminé, mais un homme quand même. Et j’ai dû économiser pour m’acheter mes premières doses d’hormones femelles, et longtemps, parce qu’il était hors de question que je m’injecte de la merde dans les veines. De toute façon, je m’étais toujours sentie femme, bien ...
... avant que mes seins s’arrondissent, et que ma verge ne se rabougrisse… un peu. Mais laissez-moi commencer par le commencement. Je suis Brésilienne d’origine, et ça a été vraiment dur d’apprendre votre si belle langue. C’est pour ça que j’attache tant d’importance à "m’exprimer" aussi rigoureusement. C’est Samuel qui m’a appris les rudiments du français. Ensemble, nous avons constaté une intelligence que je ne soupçonnais même pas (enfin, c’est lui qui le dit), et je me suis "prise au jeu". J’ai dévoré presque tous vos classiques, ouvrant un dictionnaire chaque fois que c’était nécessaire. Maintenant, je suis capable d’engloutir un bouquin de cinq cent pages en quelques heures seulement. Il n’en fut pas toujours ainsi… J’ai débarqué un matin d’un cargo sur lequel j’étais passagère clandestine, parce que j’avais dû fuir de mon pays : quelques macs commençaient à un peu trop s’intéresser à moi. Il était hors de question que je les laisse mettre la main sur moi : je ne travaillais que pour ma sœur… rien que pour elle ! Je vous passe la traversée, ma "découverte", et l’enchaînement de mâles en rut sur mon corps, parce que j’espère de tout mon cœur que cela ne vous intéresse pas. J’ai repris mon travail ici, dans votre si beau pays, parce que je ne savais rien faire d’autre à l’époque. Cela aussi n’a pas été facile. J’ai dû prendre contact avec des "collègues" pour me faire expliquer le montant des prestations et "tutti quanti". Donc j’ai appris les gros mots aussi, ceux qui excitent ...