1. Ce que le progrès rend possible


    Datte: 24/08/2020, Catégories: fh, ff, cocus, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Oral Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sf,

    ... plaquent sur les fesses de l’envahisseur. On devine la pression exercée. La bite a maintenant disparu, faisant de l’ombre au visage que l’on devine dessous. Mais la machine qui gère les caméras et la banquette comprend que quelque chose se passe de l’autre côté. Un autre homme est en face de ma femme. Il s’empare de ses jambes, et sans effort les soulève, forçant la formation d’un V qu’il doit considérer comme un V de victoire et que l’intelligence artificielle interprète en faisant descendre du plafond deux sangles aussi vivantes que la couche qui s’enroulent autour des chevilles de ViolaFleur. La suite est évidente : un léger ajustement de la banquette, et l’homme ne peut qu’accomplir le geste qui est aussi vieux que l’humanité, pousser son membre reproducteur dans la grotte désirée. Heureusement que les progrès de la médecine ont été aussi grands que pour les sciences exactes. Oublié le temps des maladies sexuellement transmissibles. Ceux qui n’ont pas connu le début de ce siècle ne peuvent pas comprendre leur bonheur d’aller glisser leur bite dans n’importe quel orifice sans avoir à se préoccuper de se protéger avec une capote ou de vérifier, analyse à l’appui, que le partenaire est sain. C’est le plaisir de la femme. Enfilée par la gorge. Possédée par la chatte. La banquette montre alors toute sa souplesse. Une balançoire ne ferait pas mieux. Vive le poteau en carbone recouvert d’une couche piézoélectrique. L’ordinateur qui contrôle tout, qui surveille tout, qui veille à ...
    ... ce que les partenaires soient le plus confortables et donc efficaces, n’a qu’à ajuster la tension appliquée sur le film afin qu’il se déforme et provoque cette ondulation. C’est beau comme un ballet. Petit à petit, le visage de ViolaFleur prend une tournure tourmentée. Dans le dancing, je trouvais déjà qu’il avait un côté salace, mais maintenant que le gros plan n’épargne rien, c’est une figure gluante que nous voyons. Et ce n’est que le début car l’homme qui se baise dans sa gorge se libère. Le foutre est si abondant qu’elle n’arrive pas à tout avaler. Il faut dire à sa décharge que l’homme qui la possède ne lui fait aucune concession. Je le comprends. Il a entendu que ViolaFleur avait une envie forte que je n’ai pu satisfaire. Voilà. La bite retirée de la bouche laisse découvrir le champ de bataille : salive, larmes, foutre maculent le visage, mais ViolaFleur ne s’en soucie pas. Maintenant que sa gorge est libre, ce sont des encouragements qu’elle prodigue à son baiseur : « C’est bon… Baise-moi… Je suis une salope… Bourre-moi plus fort ! » Le baiseur est seul avec la cochonne. Les autres regardent. La banquette oscille. Les muscles se heurtent. Elle crie son plaisir. Étrangement, sa voix est différente. Le chant à cédé la place à une voix plus sourde, gutturale en tout cas, qui débite des obscénités. Fleur ! Comment une femme si "propre" sur elle, si bien élevée, jamais provocante, oui, comment cette femme peut-elle se transformer en mytho, avide de plaisir, s’offrant sans ...
«12...101112...22»