Ce que le progrès rend possible
Datte: 24/08/2020,
Catégories:
fh,
ff,
cocus,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Oral
Partouze / Groupe
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... afin que mes caméras enregistrent tout. Ils montent. Au sol gisent une jupe, un chemisier, un soutien-gorge, et j’ai la vision étrange mais sublime de ma femme ondulant à chaque marche, soulignant encore plus les bas et le porte-jarretelles que ses compagnons lui on gardés. Vue de dessous, cette croupe se balance avec outrance, mais c’est comme une invite. ViolaFleur veut-elle me montrer combien elle peut se faire coquine, provocante, voire un peu pute ? Ce n’est plus la peine : j’ai devant moi un corps et un esprit entièrement tournés vers le sexe. En les suivant, je fais la voiture-balai, ramassant les habits qu’elle abandonne. ViolaFleur n’est pas la seule à m’avoir vue ; les trois hommes aussi. Ils ont compris et pensent que je suis l’amant ou le mari et que je suis consentant. L’escalier débouche sur un long couloir. Manifestement, les jeunes connaissent les lieux car ils passent un certain nombre de portes, ouvertes ou pas. Celles qui sont ouvertes montrent des pièces avec des lits, des fauteuils, des canapés. Je comprends qu’en plus du café, du bar, du dancing, cet établissement permet aux couples et à tous ceux qui en ont envie de pouvoir s’isoler. Ils disparaissent. Heureusement, ils n’ont pas fermé derrière eux. Ils me savaient derrière. J’arrive et je vois que ViolaFleur fait preuve de continuité dans ses choix. Les trois hommes sont alignés, et elle se charge de les débarrasser de leur pantalon. Eux-mêmes enlèvent leur haut, et voici les trois jeunes, nus, ...
... bandant devant ma femme, adoratrice de leur queue qu’elle caresse et embrasse. Soudain, la pièce semble se réveiller. Sur les murs, sur le sol et sur le plafond la scène est multipliée à l’envi et sous tous les angles, plans élargis, gros plans. Sous un aspect de chambre d’une autre époque, encore une fois la technologie s’est glissée. Caméras, murs-écrans et intelligence artificielle sont avec eux. Étrangement, la chambre ne contient que fauteuils et canapés. Pas de lit. Juste au centre, soulignée par une sorte de mise en scène optique, une banquette. C’est vers elle que les hommes poussent ViolaFleur. Elle s’allonge dessus, sur le dos. Cela semble particulièrement inconfortable et peu propice à l’amour, mais dès qu’elle s’est installée, la banquette bouge. Elle semble vivante, et une demi-coque se forme, épousant parfaitement le corps allongé. De la nuque aux reins, la dure banquette s’est transformée en moelleuse couche. Déjà un des hommes s’approche, le sexe insolent de vigueur, pieu horizontal dont l’objectif est la bouche de la femme. Sans un mot – ou une commande –, la couche intelligente se soulève pour amener le visage de la belle au niveau du mandrin qui progresse. Le mur montre le zoom de ce qui se passe. L’approche délicate de la queue. La bouche entrouverte. La tête penchée en arrière. Le regard qui suit l’avancée. Et puis les lèvres qui s’écartent pour recevoir le gland. Les premiers coups de langue. La progression de l’engin. Mais aussi les mains de ViolaFleur qui se ...