Ce que le progrès rend possible
Datte: 24/08/2020,
Catégories:
fh,
ff,
cocus,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
sf,
... est donc en sommeil sous la conscience de ma collaboratrice. Peut-elle suivre ce qui se passe dans le monde extérieur ? — Professeur, allons, cela fait si longtemps que j’en avais envie. Et en le disant, elle force ma main et ses lèvres viennent au contact des miennes. Ce sont les lèvres de ma femme, mais la fougue est d’une autre. Je ne résiste plus. Plus tard, je pourrai tout analyser. Ainsi Fleur avait des envies de moi. Pourtant, à part une prévenance que j’attribuais à la reconnaissance de mes compétences, jamais elle n’a fait la moindre allusion. — Venez. Elle me libère de son corps, mais d’une main ferme elle m’entraîne vers notre table. À peine arrivée, elle appuie sur la touche "confinement". Encore une application de la mécanique quantique qui permet de créer une bulle nous isolant de l’extérieur. Malgré une légère déformation optique, nous pouvons encore voir la pièce, la piste de danse, les tables environnantes alors que les autres ne voient plus qu’un brouillard. Déjà en 2016 on savait faire ce genre de chose, mais uniquement sur des objets très petits et "travaillés" de façon très fine. ViolaFleur me pousse à m’asseoir, et sans que je n’aie le temps de réagir elle s’agenouille pour défaire le scratch de mon pantalon, tire avec force pour le descendre sur mes chevilles, et dans la foulée entraîne le slip avec. Il faut que je l’arrête. Cela va trop loin. Je retiens sa tête entre mes mains. — Fleur ! Non.— Professeur, je vous en prie. J’ai trop chaud. Mon ventre ...
... me brûle. J’ai terriblement envie de vous. Juste une fois. Après, nous ferons comme si rien ne s’était passé. Promis. Elle ne croit pas si bien dire. Mais demain, lorsque je vais retrouver mon assistante, moi je me souviendrai. Et ce regard suppliant… Et cette langue qui humidifie les lèvres, transformant ce visage pourtant si familier en femelle assoiffée de sexe… Je ne suis pas de bois. L’animal qui est en nous ne disparaît pas avec les études et est juste sous contrôle de l’éducation. — Vous voyez, vous aussi en avez envie ! Elle a raison. Le slip avait libéré un sexe légèrement gonflé, mais cet intermède l’a transformé. Je suis vaincu, trahi par ma libido. Elle a gagné. Je la libère. Je ne connais pas de meilleure défaite. La langue est un serpent. Les lèvres, des grignoteuses de bite ; et que dire de cette gorge qui semble sans fond ? Bien sûr, ce n’est pas la première fois que ma femme me suce. Mais ici, tout est différent. C’est elle et ce n’est pas elle. La cochonne me déguste comme une friandise. Pas un millimètre n’est laissé à l’abandon. Et que dire de ce regard qu’elle me jette où transpirent la perversité et l’envie alors que, penchée sur le côté, elle gobe chacune de mes couilles ? — Votre queue est magnifique… Voilà ce qu’elle me dit de sa voix chantante alors qu’elle reprend son souffle et replonge. — J’en rêvais…Vous aimez ? Et toujours ce regard brillant. Cette lueur indéfinissable que, si je n’étais bien élevé, je qualifierais de "salope, chaude du cul, ...