Ce que le progrès rend possible
Datte: 24/08/2020,
Catégories:
fh,
ff,
cocus,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
sf,
... regards me donnent un sursaut de vigueur. Dans leurs oreilles, les claquements de mon ventre sur ces fesses magnifiques, parfaitement soulignées par les bretelles qui relient le porte-jarretelles aux bas, rythment mes mouvements. Et puis les cris de ViolaFleur, ses gémissements, son plaisir exprimé, ses encouragements et cette fin lorsque je lui lessive le ventre avec mon foutre et qu’elle murmure « Professeur… Professeur… » ViolaFleur revient à elle. Elle s’assied sur la table et se ressert une coupe. Le visage de ma femme est marqué par le plaisir. J’y découvre une expression inconnue. Si c’était une inconnue, je la dirais avec un mélange de malice, de provocation et d’indécence. Comment la Fleur que je connais peut-elle cacher ce que je découvre dans ces conditions si particulières ? Je vais remettre mon pantalon mais elle m’interrompt. — Attendez, j’ai encore envie. Professeur, s’il vous plaît…— Chère Fleur, je ne suis pas un surhomme, et je n’avais pas prévu que vous seriez si gourmande. Je pensais qu’elle comprendrait. Surtout, je ne m’attendais pas du tout à sa réaction. — Non, non. Je ne peux pas rester comme cela. Si vous ne pouvez pas, je vais… Elle regarde autour d’elle. En une seconde elle remarque les trois hommes qui regardent toujours et qui doivent avoir entendu. L’un deux tend la main, comme s’il se proposait. ViolaFleur saute de la table et se dirige vers eux. Le brouillard de notre bulle se déchire sur son passage mais se reconstitue aussitôt. Je la vois ...
... faire les quelques mètres qui la séparent du trio. Elle parle à celui qui lui tendait la main mais aussi aux deux autres. Ils sourient et semblent hocher la tête. Elle n’a tout de même pas demandé… J’ai la réponse aussitôt car ViolaFleur part avec l’homme qu’elle tient par la main, mais les deux autres suivent. Un instant, je panique car ils l’entraînent vers le fond de la salle. J’ai le réflexe de glisser la culotte de Viola dans une poche et me précipite pour les suivre. Les suivre et faire cesser tout cela. Elle va trop loin. La réaction de mes cobayes me dépasse. Au fond de la salle, une porte. Derrière cette porte, un escalier qui monte. Où mène-t-il ? Et pourquoi les jeunes entraînent-ils Viola dans cette direction ? Si j’avais peur de les perdre, aucun risque. Ils ont juste monté quelques marches. Mais les hommes enveloppent ma femme. Elle est leur point central. L’un deux est déjà en train de détacher sa jupe alors que les autres explorent son corps. Quelques marches, et ils s’arrêtent à nouveau. Cette fois, c’est ViolaFleur qui tire un zip et extrait un sexe de son écrin. Quelques caresses, et on lui détache son corsage. C’en est trop, je vais intervenir. Je monte, mais lorsque le soutien-gorge est enlevé, ma femme m’aperçoit. Elle me sourit et articule silencieusement « Professeur ». Ce simple titre me rappelle à mon devoir de chercheur et à l’obligation professionnelle qui s’y rattache. Non, je ne dois pas intervenir. Au contraire, il faut que je suive au plus près ...