Section TG (18)
Datte: 25/08/2020,
Catégories:
Transexuels
33- Notre mission d’infiltration continuait. Mai s’achevait. Les tenues d’hiver et les bas firent place à des tenues beaucoup plus légères et plus courtes aussi. Anton était de plus en plus tactile, n’hésitant pas à passer ses mains sous ma jupe n’importe où, n’importe quand. Il me convoquait aussi plus souvent sous son bureau, surtout quand il téléphonait à ses clients. L’idée que ces derniers puissent négocier une nouvelle commande sans se douter qu’il était en pleine séance de fellation l’excitait au plus haut point. Vanessa n’était pas en reste non plus. Elle m’avoua que Sergeï était un fétichiste des pieds et des chaussures et son trip était de voir ma copine marcher en long et en large dans son bureau perchée sur des chaussures aux talons vertigineux, chaussures qu’il achetait lui-même. Quand elle montrait des signes de fatigue, Sergeï la faisait asseoir sur le canapé pour lui sucer les orteils et lécher la plante des pieds. Puis excité à mort, il la sautait pour se vider en elle après quelques allers-retours. Bien que la soirée fut avancée, il faisait encore chaud. Anton m’avait baisé deux fois et il prenait une douche. J’en profitai pour aller remplacer quelques micros dont la batterie montrait des signes de fatigue. Le bureau situé au premier étage avait encore les porte-fenêtre ouvertes. J’allai repartir lorsque j’entendis des voix plus bas. — J’en peux plus de cette situation, dit Ludmilla dont je reconnus l’accent — Moi aussi. Mais ce n’est si simple. Y a mes ...
... enfants. Là c’était la voix de Marie, la cuisinière. — Mais tu peux les laisser à ton mari, plaida Ludmilla — Oui, c’est vrai. Je t’aime Lud, mais j’aime aussi mes enfants. Même si parfois ils sont impossibles. Et tu sais très bien ce que je veux. On en a déjà parlé — Oui je sais, dit Ludmilla sur un ton de dépit. Mais moi, les enfants ... Je n’avais que trop trainé dans le bureau. Je laissais les deux femmes à leurs tourments amoureux. J’entrouvris la porte, vérifia que le couloir était désert et sortis discrètement en refermant la porte à clé. — Malika ? Tu es où ? cria Anton quittant sa chambre. Ah te voilà ! D’où tu viens ? — Chercher un peu de fraicheur. — A poil ? — Ben oui, je n’allai pas prendre une doudoune, rétorqué-je en secouant la tête. Tu voulais quelque chose ? — Euh non, rien. Bonne nuit. — Bonne nuit mon chou. Je j’avais échappé belle. Je m’auto-flagellai devant pour mon excès de confiance. Je pris une douche froide et me couchai. La fin de semaine arriva. Comme d’habitude les week-ends étaient des surprises. Parfois Anton partait me laissant seule, parfois, on baisait comme des lapins. Parfois encore, il invitait des amis pour des soirées échangistes. Mais ces dernières étaient assez rares. — Habille-toi correctement, me demanda Anton en fin d’après-midi. Mais pas trop pute non plus. Je passai une robe à fine bretelle, un ensemble blanc string et soutien-gorge bandeau et des sandales à talons hauts. Ludmilla officiait comme chauffeur et je pris place avec Anton ...