1. Section TG (18)


    Datte: 25/08/2020, Catégories: Transexuels

    ... à l’arrière de l’imposante Mercédès. Bien sûr, je ne demandai rien, ni où on allait ni chez qui. — Tu ne veux pas me faire une gâterie ? demanda Anton. On a encore une bonne demi-heure de route. Je reconnu le périphérique nord et on roulait au pas. La sortie des bureaux mêlée aux départs en week-end provoquaient des bouchons. Je ne me posai pas de question et défit son pantalon. Je sortis son sexe et le suçai avec application. — Ludmilla, tu ne veux pas prendre la prochaine sortie et trouver un endroit pour t’arrêter ? Elle tourna pendant un bon quart d’heure et finit enfin par se garer. — Baisse le siège avant. Il y a longtemps que je n’ai pas baisé dans une voiture. Anton m’allongea sur le dossier du siège passager et s’allongea sur moi. Sa queue chercha l’entrée de la grotte et s’y engouffra d’un coup. Si ça lui rappelait des souvenirs de jeunesse, pour moi c’était une première. Certes, ce n’était pas très confortable mais c’était assez excitant. Ludmilla nous regardai faire, la main sous sa jupe. Soudain, elle inclina son siège et se tourna vers l’arrière, jambes écartées. Sa culotte était repoussée sur le côté et ses doigts glissaient entre ses lèvres gonflées et humides — Lèche-moi ! ordonna-t-elle Anton ne fit pas grand-chose pour m’aider. Je me contorsionnai pour m’approcher de la minette épilée de la russe. Très vite, elle se mit à couiner, signe qu’elle prenait son pied. Anton grognait et je sentis qu’il allait bientôt jouir. Ce qu’il fit. En moi. — On peut y ...
    ... aller, dit-il. Ludmilla reprit sa position sans faire attention à moi. Je m’écartai vivement, échappant au coup de genou en pleine tête. Je nettoyai le sperme qui coulait de mon fondement et me rhabillai. On arriva enfin. En descendant de voiture mon impression se confirma. On était dans une cité et pas des plus jolies, ni des mieux fréquentées. Des bandes de jeunes pas vraiment patibulaires discutaient devant les entrées des immeubles. Ils nous regardaient passer mais ne bougèrent pas. On arriva au numéro dix et Ludmilla sonna à la porte de gauche. — Entrez, entrez, dit un homme. Vous avez trouvé du monde ? — Comme d’habitude, dit Anton. Je fermai la marche. L’homme me déshabilla avec un regard concupiscent. Une femme nous accueillit à son tour. Tout puait la vulgarité chez elle. Grosse, des fringues racoleuses, un maquillage vulgaire et trop de parfum. Et sa façon de parler donnait la dernière touche à ce tableau pas vraiment idyllique. Bien sûr, personne ne prit soin de faire les présentations. Toutefois, au fil de la discussion, je compris qu’on était chez André et Gisèle, concierge de leur état. Et les pièces du puzzle commençaient à se mettre en place dans ma tête. Un trafiquant d’armes, une cité mal famée, un concierge. Qui mieux qu’un concierge pour connaitre tous les habitants d’une cité ? Je laissai ce petit monde discuter. Café, pousse-café, cigare. Je me dis que le moment était venu de passer aux extras et que l’extra, c’était moi. — Bon, on fait comme d’habitude ? ...