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Section TG (18)
Datte: 25/08/2020, Catégories: Transexuels
... Mais je dois me faire des idées. — Et tu es toujours aussi accroc aux transsexuels ? — Oui, dit Steve en baissant la tête. Sergeï éclata de rire. — Tu n’assumes toujours pas ? Tu sais que moi aussi, je m’y suis mis aux trav. Ce sont de vraies bêtes de sexe. Je te présenterai Vanessa tout à l’heure. Vanessa arriva en fin d’après-midi, laissant Malika continuer son chemin. — Vanessa, te voilà enfin. As-tu trouvé une nouvelle paire de sandales ? — Ah, ah ! Surprise, répondit Vanessa taquine. — Je te présente Steve Lohar, un ami. Et il apprécie énormément les personnes comme toi. — Oh. C’est gentil. — Si tu es d’accord, ce soir, on jouera ensemble. — Bien, sur. Je suis là pour ça. Comme convenu, Vanessa s’occupa de Steve qui s’avéra être plus passif qu’actif. Vanessa comprit que sa fascination pour les transsexuels cachait une homosexualité refoulée car si Steve suçait le sexe de Vanessa, il acceptait de se faire sodomiser par Sergeï. — Décidément, vous les françaises, vous êtes les meilleures du monde, dit Steve pendant qu’il se faisant limer par Vanessa. — Et tu en connais beaucoup de trans françaises ? demanda Vanessa — Non pas beaucoup. En fait une seule avant toi, répondit Steve entre deux ahanements. Une déesse, avec un nom de ...
... déesse. Malika. — Malika ? dit Sergeï. Mais c’est la copine de Vanessa. Enfin si on parle de la même personne. Ce serait une coïncidence étrange. Bon on verra ça demain. Vanessa comprit que le vent était en train de tourner. Elle s’activa entre les reins du financier et finit par jouir dans le préservatif. Puis tout le monde alla se coucher. Elle envoya rapidement un sms à Malika et à Sophie. La journée du lendemain risquait d’être sportive. .oOo. Je repris mon bronzage, comme si de rien n’était. Anton avait gobé mon histoire à dormir debout. Mais je savais que le serbe était méfiant de nature et qu’il allait vite additionner un et un. Je connaissais Steve Lohar, je m’étais incrusté chez lui alors qu’il n’y avait vraiment aucune raison de le faire. Et il ne manquait plus qu’Anton inspecte son bureau pour trouver mes mouchards que je n’avais pas pu enlever puisque j’avais dormi dans ses bras. Au sens propre du terme. Je me devais d’être patiente et trouver le bon moment pour faire le ménage. Mais il n’arriva pas. Il était presque midi lorsqu’Anton me rappela dans son bureau. J’avais juste noué un paréo autour de ma taille et passé des mules à talons hauts. Ludmilla était là aussi, un sourire pas vraiment engageant au coin des lèvres.