La plus belle, la plus douce
Datte: 11/10/2017,
Catégories:
fh,
fhhh,
jeunes,
copains,
boitenuit,
Oral
fdanus,
... premier doigt pénètre presque sans effort. Elle a arrêté sa succion. Un second doigt le rejoint. Je sens qu’elle se crispe. Elle a bloqué sa respiration. Sa main semble vouloir griffer la cuisse de l’homme qui lui fait face. Les doigts vont et viennent lentement. Sa poitrine se soulève à nouveau, la douleur est passée. Elle ondule à nouveau de plaisir. Pendant que l’exploration de son anus se poursuit, elle reprend sa fellation à la grande joie du bénéficiaire qui ne tarde pas à jouir. Et cette fois-ci la main se pose sur sa nuque pour qu’elle ne perde rien. Mais aurait-elle voulu en perdre ? Finalement, je n’en suis plus si sûr. Comme au théâtre, le tableau change. Le masturbateur quitte sa position, on la relève et on la conduit au canapé. Là, on la fait s’allonger à demi, le buste et la tête reposant sur des coussins et l’accoudoir. On lui écarte les cuisses. Elle se laisse faire. C’est l’embrasseur qui reprend la masturbation. Il lui caresse le clitoris tout en la doigtant et elle a vraiment l’air d’apprécier. Le troisième larron, qui jusque-là était resté sagement à l’écart en se masturbant tranquillement, mais pas trop vite pour ne pas venir, décide que son tour est venu et ...
... s’approche. Il repousse les autres et s’allonge sur elle, entre ses jambes déjà écartées. Elle se cambre en arrière, prête à le recevoir. C’en est trop pour moi. À voix basse, les dents serrées, je prends Virginie à témoin, espérant qu’elle va me conforter dans mon espoir que tout ceci se fait contre sa volonté : — C’est pas possible qu’elle fasse ça ! Ils ont dû la droguer. Ils ont sûrement mis quelque chose dans son verre, tu ne crois pas ? Où alors elle a trop bu d’alcool ! Pourtant elle n’a pas l’air d’être saoule. Qu’est-ce qui lui prend de se comporter comme ça, ça ne lui ressemble pas du tout !— Tu sais, toi, ce qu’il y a dans la tête d’une fille ? Surpris par la réflexion de Virginie et par le ton de sa voix, je me retourne et mon regard plonge dans ses yeux bleus. Ils sont pleins de tristesse et embués de larmes. Je ne comprends pas et puis soudain, le déclic ! Et bien sûr, je n’avais rien vu. Mon visage est près du sien. J’hésite un instant, puis je me penche un peu. Elle ferme les yeux. Je pose mes lèvres sur les siennes. Je m’attends à ce qu’elle me repousse, mais non, au contraire, elle me rend mon baiser, tendrement. J’avais oublié que les lèvres d’une fille pouvaient être si douces !