Ma tante de 45 ans est sublime (4)
Datte: 11/10/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... osciller du bassin, ce qui provoqua en moi ce que l’on est en droit d’imaginer chez unjeune homme de 18 ans. — Alors, ma tante ? Je vous sens mouiller à souhait ; auriez-vous une idée derrière la tête ? Chantal se prit au jeu du vouvoiement. — Que voulez-vous, mon neveu, la Nature vous a comblé, et votre tante va tenter de répondre à vos attentes. — Faites, ma chère ; venez vous glisser en moi. — Mais que croyez-vous ? Je viens me glisser en vous pour mieux vous sentir en moi. Ma tante souleva légèrement son bassin, saisit mon membre pour l’entraîner dans son orifice qui attendait depuis un bon moment. Ce fut sans difficulté que Chantal "entra" en moi, délicieusement. Elle continua ses mouvements. Je lui caressais désormais le dos pour finir par son adorable derrière. — Mon Dieu, comme j’aime te sentir en moi, Jean ! C’est dingue, une sensation pareille ! — Oui, c’est dingue avec toi. Comme elle aimait se faire pénétrer par son neveu ! Elle gémissait tendrement, affectueusement dans le creux de mon oreille. Oui, c’était dingue d’entendre ma tante de 45 ans en train de gémir de plaisir, du plaisir de sentir mon sexe en elle, de sefaire baiser par un jeune de 18 ans. Puis lentement, elle se redressa, le buste bien en avant. Quel spectacle m’offrit ma tante... J’avais devant moi – ou plutôt sur moi – cette femme mûre avec ses seins arrogants. Je la pris par les hanches et lui caressai ses seins enflammés. Chantal saisit mon index, le porta à sa bouche et se mit à le sucer ...
... tout en finesse. Elle me jeta un regard complice avec mon index dans sa bouche : comme elle était devenue libertine, ma tante si réservée auparavant ! Elle se laissait aller totalement avec moi, un brin joueuse, comme libérée de ces années mornes. Quel bonheur de la voir ainsi et de savoir combien elle me faisait confiance ! — Je garde ton doigt, mais si tu me fais jouir... je risque de le mordre ! — Continue, que je te fasse jouir, ma Tatie, et mords-moi d’amour. Pour moi, le rêve se poursuivait. Nous étions le premier jour de la semaine, il était environ 22 heures et j’avais ma tante sur moi en train de se faire pénétrer et qui gesticulait pour mieux jouir en moi ! — C’est bon de t’avoir sur moi, Chantal... — Tu ne peux pas savoir ce que j’éprouve en ce moment ; et tu es tellement dur... C’est incroyable, ce que tu me fais ! Sur ces belles paroles, je lui donnai un coup de reins, ce qui engendra un petit cri étouffé de sa part. Je sentis que Chantal "s’épanouissait" suite à mes petits coups secs ; elle – ou plutôt son sexe – s’ouvrait sous mes lames affinées. Je la vis me mordiller l’index avec ses belles dents recouvertes de ses lèvres. — Viens, Jean, je n’en peux plus... — Oui... Ouiii... Mes mains se firent plus virulentes sur ses hanches admirables ; je "tenais" ma tante et lui calquais le rythme. À ce moment précis, j’avais oublié les années qui nous séparaient ; elle était devenue "ma poule que je baise". N’y pouvant plus, je lâchai un long râle de plaisir, en pleine ...