-
Nadine, la vengeance d'une maman (22)
Datte: 03/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou
Nous cohabitions. Papa rattrapait le temps passé loin de son foyer, il ne sortait jamais de la maison. Maman avait repris le travail. Je passais les épreuves du bac. Je les retrouvais le soir. Je désirais ma mère à en crever, mais la présence continuelle de mon père contrariait mes plans. Je ne pouvais pas « m’occuper » d’elle comme je l’aurais souhaité. Je devais me contenter de baisers volés, d’attouchements furtifs. C’était d’autant plus frustrant qu’elle était à nouveau toute disposée à faire tout un tas de « cochonneries » avec moi. Nous pouvions laisser libre cours à nos pulsions le matin, quand Papa s’enfermait dans la salle de bain. Dès que nous entendions l’eau couler, le signal était donné. Faire « des choses » en cachette pimentait nos ébats. Le jour où nous avons franchi le pas - depuis la dernière fois que je l’avais sodomisée -, je me suis appuyé contre l’évier, le pyjama sur les chevilles. Maman s’est aussitôt agenouillée pour me sucer la queue. J’étais tellement excité que j’ai éjaculé dans la foulée. Elle a ouvert la bouche, m’a montré sa langue rose, toute propre, et elle s’est installée à ma place. Elle a baissé sa culotte, impatiente que je la dévore à mon tour ; j’ai l’ai léchée, ma langue s’est attardée ; sa mouille a coulé dans ma bouche. Elle a eu un orgasme, s’est mordue la main pour ne pas crier. Après, nous avons pris notre petit déjeuner les yeux brillants, les joues en feu. Quand Papa est arrivé, Maman et moi avons échangé des regards éloquents. ...
... Nous avons été pris d’un fou rire dont il ignorait la raison, et c’est précisément ce qui nous réjouissait. Nous avons recommencé le lendemain, et les jours suivants, mais notre routine était si bien réglée que je m’en suis vite lassé. Il ne faut pas oublier qu’ils dormaient dans le même lit, qu’il la baisait toutes les nuits pendant que je me morfondais seul dans le mien. Papa squattait les lieux en permanence, je ne le supportais plus. J’ai commencé à prendre des risques. J’en avais besoin pour me sentir exister. Un soir, alors que nous dinions tous les trois – Papa en bout de table, Maman assise en face de moi – j’ai allongé ma jambe sous la table. J’ai posé mon pied nu sur le bord de sa chaise. Elle m’a lancé un regard affolé mais je n’ai pas bougé, ne l’ai pas retiré. Papa avait toujours quelque chose à raconter pendant les repas, il ne la fermait jamais. Maman s’est détendue quand elle a vu qu’il n’avait rien remarqué, qu’il n’interrompait pas sa logorrhée. Elle s’est avancée. Mon pied s’est retrouvé enfermé dans la fourche de ses cuisses. J’ai frotté mes doigts de pied sur l’empiècement, les ai glissés sous la culotte par le côté. Je les ai promenés sur sa fente, ai enfoncé mon gros orteil dans son vagin. Elle était si trempée que les parois de son sexe l’ont immédiatement enveloppé d’une matière visqueuse. Je l’ai fait remuer dedans, tant et si bien qu’elle a joui au nez et à la barbe de papa. Elle n’en a rien montré, m’a masturbé à son tour avec la plante de son pied ...