Nadine, la vengeance d'une maman (22) - Histoires de Sexe

Nadine, la vengeance d'une maman (22)

... à travers mon jogging, jusqu’à ce que j’éjacule dans mon slip. Papa ne s’était pas arrêté de parler une minute. Nous tripoter à l’insu de mon père avait stimulé ma libido, mais ce n’était pas suffisant, j’avais besoin d’aller plus loin. Une nuit – il était un peu plus de minuit –, j’ai eu envie de pisser. Je suis allé me soulager, puis je me suis approché de leur chambre ; il y avait de la lumière sous la porte. Ma mère devait souffrir d’insomnie car j’entendais mon père qui ronflait. J’ai doucement baissé le loquet… Maman m’a regardé les yeux écarquillés de stupeur. Elle était sagement assise dans son lit et lisait un roman, le dos calé contre un gros oreiller. Comme Papa ronflait toujours, je me suis approché d’elle en posant mon index sur mes lèvres. Je suis venu de son coté, me suis agenouillé sur la descente de lit. Elle portait une nuisette rose, transparente, très décolletée. Elle n’avait pas de culotte. J’ai rabattu les bretelles, tiré dessus pour libérer ses nichons. Elle est restée immobile, ses yeux m’ont imploré. Elle était d’autant plus désarmée qu’elle savait que le combat était perdu d’avance - elle ne pouvait pas se défendre sans risquer de réveiller Papa -, elle en était réduite à tout accepter en silence. Je lui ai caressé les seins, le ventre, ai posé ma main entre ses cuisses. Elle s’est laissée faire les yeux fermés, soumise à ma volonté. J’ai empaumé sa chatte, ai replié les doigts dans son vagin. Elle ne pouvait pas nier qu’elle était excitée, elle ...

... était trempée. Je l’ai branlée avec des gestes sûrs, précis ; ceux-là mêmes qu’elle affectionnait tant quand nous n’étions que tous les deux. J’étais déterminé. Elle a poussé un long gémissement, un râle guttural qui a réveillé Papa. — Qu’est-ce qui se passe, Nadia… qu’est-ce que tu as ? En entendant la voix pleine de sommeil de Papa, j’ai précipitamment retiré ma main et me suis recroquevillé sur le sol. Il s’est retourné dans le lit pour faire face à sa femme. Entre temps, Maman s’était allongée et faisait celle qui se masturbait, histoire d’expliquer pourquoi elle avait crié. — Putain, Nadia, tu es incroyable, tu sais… Pourquoi tu n’as pas voulu, tout à l’heure… tu préfères te toucher toute seule, c’est ça ? Voyons, ma chérie, tu n’as plus quinze ans ! — Je ne sais pas ce qui m’arrive… Je crois que je me suis endormie, j’ai dû rêver… désolée de t’avoir réveillé. — Ne le sois pas, ma belle, ça prouve que tu as des envies… Je ne peux pas te laisser dans cet état, je serais un vrai goujat si je faisais ça ! Elle m’a avoué plus tard qu’elle avait failli refuser, mais qu’elle avait finalement accepté pour me donner une bonne leçon, pour me punir de mon imprudence. Je l’avais si bien chauffée qu’elle avait la chatte en feu, elle dégoulinait ; à chaque coup de rein qu’il donnait pour s’enfoncer loin dans son vagin répondait un bruit de clapotement obscène. Le comportement de Maman me dégoutait, surtout qu’elle en rajoutait ; elle se pâmait, lui disait des trucs vicieux pour ...